Selon la DGCOM/PR, l’image du Chef de l’État dépasse la simple représentation individuelle : elle symbolise la République et incarne ses institutions. À ce titre, la Présidence insiste sur l’obligation de respecter la fonction présidentielle et tout ce qu’elle représente.
Face à la montée rapide des outils numériques permettant de produire ou altérer des images, notamment grâce à l’intelligence artificielle, la DGCOM/PR interdit explicitement :
- Toute manipulation, modification ou altération de l’image du Président ;
- La création de deepfakes ou d’images générées par IA montrant le Chef de l’État dans des contextes non officiels, trompeurs ou malveillants ;
- Toute déformation de son image à des fins de satire, caricature, comédie ou humiliation.
Le communiqué avertit que toute personne — physique ou morale — identifiée comme ayant manipulé ou détourné l’image du Président s’expose à des poursuites judiciaires. Ces actes pourront être qualifiés selon les lois en vigueur : atteinte à l’honneur et à la dignité de la fonction présidentielle, diffusion de fausses informations, usurpation d’identité numérique ou violation du droit à l’image.
La DGCOM/PR affirme qu’elle veillera strictement au respect de cette interdiction afin de protéger l’image institutionnelle du Chef de l’État.
Face à la montée rapide des outils numériques permettant de produire ou altérer des images, notamment grâce à l’intelligence artificielle, la DGCOM/PR interdit explicitement :
- Toute manipulation, modification ou altération de l’image du Président ;
- La création de deepfakes ou d’images générées par IA montrant le Chef de l’État dans des contextes non officiels, trompeurs ou malveillants ;
- Toute déformation de son image à des fins de satire, caricature, comédie ou humiliation.
Le communiqué avertit que toute personne — physique ou morale — identifiée comme ayant manipulé ou détourné l’image du Président s’expose à des poursuites judiciaires. Ces actes pourront être qualifiés selon les lois en vigueur : atteinte à l’honneur et à la dignité de la fonction présidentielle, diffusion de fausses informations, usurpation d’identité numérique ou violation du droit à l’image.
La DGCOM/PR affirme qu’elle veillera strictement au respect de cette interdiction afin de protéger l’image institutionnelle du Chef de l’État.
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Tchad : La Présidence interdit toute manipulation de l’image du Chef de l’État








