Les activités du projet « Réponse humanitaire multisectorielle (WASH, sécurité alimentaire et protection) pour les populations affectées par les crises dans la région du Sahel central (Burkina Faso, Mali, Niger et Tchad) », financé par le ministère fédéral allemand des Affaires étrangères (GFFO) et mis en œuvre par Oxfam Tchad avec l’appui de son partenaire APLFT, ont été au cœur d’un atelier de capitalisation des leçons apprises et des bonnes pratiques, organisé à Bagasola.
Cet atelier a réuni les autorités administratives locales, les partenaires techniques, les acteurs humanitaires ainsi que les représentants des communautés bénéficiaires. Il vise à analyser les résultats du projet, partager les expériences acquises sur le terrain, et dégager des enseignements utiles pour améliorer l’efficacité des futures interventions humanitaires dans la province du Lac.
Prenant la parole à cette occasion, le responsable programme terrain par intérim d’Oxfam Tchad, Garba Yayè Issa, a souligné que le projet, grâce à son approche multisectorielle intégrée, a contribué de manière significative à l’amélioration des conditions de vie des populations les plus vulnérables.
Il a précisé que les interventions dans les domaines de la sécurité alimentaire, de l’eau, hygiène et assainissement (WASH) ainsi que de la protection ont permis non seulement de répondre aux besoins urgents des communautés affectées par les crises, mais aussi de renforcer leur résilience face aux chocs futurs. Selon lui, au-delà des réalisations matérielles, le projet a favorisé le renforcement des capacités locales, la participation communautaire et une meilleure coordination entre les services étatiques et les acteurs humanitaires.
Représentant le préfet du département de Kaya, le sous-préfet de Bagasola rural, Ali Abdramane Mbodou, a salué l’initiative d’Oxfam d’organiser cet atelier de capitalisation. Il a indiqué que ce cadre d’échanges constitue une opportunité pour les parties prenantes d’identifier les succès enregistrés, mais également les difficultés rencontrées, les limites observées et les enseignements à tirer afin de mieux orienter les interventions futures.
Ali Abdramane Mbodou a, par ailleurs, réaffirmé l’engagement de l’administration publique à accompagner toutes les initiatives visant à renforcer la résilience des populations, à promouvoir une réponse humanitaire plus efficace, plus cohérente et mieux adaptée aux réalités locales. Au cours de l’atelier, les responsables du projet et les partenaires de mise en œuvre se sont relayés pour présenter les différentes réalisations enregistrées.
Ces présentations ont donné lieu à des échanges interactifs et des débats constructifs, débouchant sur des recommandations pertinentes, opérationnelles et utiles, destinées à améliorer la conception et la mise en œuvre des projets humanitaires à venir dans la province.
Cet atelier a réuni les autorités administratives locales, les partenaires techniques, les acteurs humanitaires ainsi que les représentants des communautés bénéficiaires. Il vise à analyser les résultats du projet, partager les expériences acquises sur le terrain, et dégager des enseignements utiles pour améliorer l’efficacité des futures interventions humanitaires dans la province du Lac.
Prenant la parole à cette occasion, le responsable programme terrain par intérim d’Oxfam Tchad, Garba Yayè Issa, a souligné que le projet, grâce à son approche multisectorielle intégrée, a contribué de manière significative à l’amélioration des conditions de vie des populations les plus vulnérables.
Il a précisé que les interventions dans les domaines de la sécurité alimentaire, de l’eau, hygiène et assainissement (WASH) ainsi que de la protection ont permis non seulement de répondre aux besoins urgents des communautés affectées par les crises, mais aussi de renforcer leur résilience face aux chocs futurs. Selon lui, au-delà des réalisations matérielles, le projet a favorisé le renforcement des capacités locales, la participation communautaire et une meilleure coordination entre les services étatiques et les acteurs humanitaires.
Représentant le préfet du département de Kaya, le sous-préfet de Bagasola rural, Ali Abdramane Mbodou, a salué l’initiative d’Oxfam d’organiser cet atelier de capitalisation. Il a indiqué que ce cadre d’échanges constitue une opportunité pour les parties prenantes d’identifier les succès enregistrés, mais également les difficultés rencontrées, les limites observées et les enseignements à tirer afin de mieux orienter les interventions futures.
Ali Abdramane Mbodou a, par ailleurs, réaffirmé l’engagement de l’administration publique à accompagner toutes les initiatives visant à renforcer la résilience des populations, à promouvoir une réponse humanitaire plus efficace, plus cohérente et mieux adaptée aux réalités locales. Au cours de l’atelier, les responsables du projet et les partenaires de mise en œuvre se sont relayés pour présenter les différentes réalisations enregistrées.
Ces présentations ont donné lieu à des échanges interactifs et des débats constructifs, débouchant sur des recommandations pertinentes, opérationnelles et utiles, destinées à améliorer la conception et la mise en œuvre des projets humanitaires à venir dans la province.
Menu
Tchad : Bagasola, Oxfam capitalise les acquis de son projet humanitaire multisectoriel








