Une session écosystémique consacrée à l’entrepreneuriat vert s’est tenue ce mardi 16 décembre 2025 à l’hôtel Radisson Blu de N’Djamena.
Organisée par l’Office national pour la promotion de l’emploi (ONAPE), en partenariat avec la Fondation Tony Elumelu et United Bank for Africa (UBA), la rencontre a réuni des acteurs publics, des partenaires techniques et financiers, ainsi que des jeunes porteurs de projets, autour d’un objectif commun : faire de l’économie verte un levier concret de création d’emplois au Tchad.
Ouvrant les travaux, le directeur général de l’ONAPE, Nassouradine Abakar Kessou, a inscrit cette initiative dans la dynamique des priorités gouvernementales. Selon lui, la session écosystémique « s’inscrit pleinement dans la mise en œuvre du programme du gouvernement » et répond directement « aux attentes de la jeunesse ». Il a insisté sur le caractère pressant de la démarche, soulignant qu’« il s’agit d’une urgence sociale parce qu’il faut créer des emplois pour la jeunesse », mais aussi d’« une assurance pour l’avenir ». Pour le DG de l’ONAPE, l’enjeu est avant tout collaboratif.
La session vise à « identifier des acteurs qui vont travailler ensemble » afin de structurer un écosystème capable d’accompagner efficacement les jeunes vers l’emploi et l’entrepreneuriat. Dans cette perspective, il a rappelé que pour l’ONAPE, cette séance de travail relève d’« une position stratégique » et traduit « un choix clair, celui de passer à l’action, d’aider les jeunes à avoir un emploi et entreprendre ».
Prenant la parole au nom du gouvernement, le secrétaire général du ministère de la Fonction publique, Baba Laye, a replacé la rencontre dans un contexte plus large de transformation économique. Il a indiqué que « la tenue de cette session intervient dans un contexte de mutation de développement », tout en reconnaissant que l’entrepreneuriat vert au Tchad fait encore face à « des défis de structure ».
Pour lui, l’objectif de la session est clair : « analyser les enjeux et proposer des solutions » adaptées aux réalités nationales. Baba Laye a également mis en lumière le potentiel encore sous-exploité du pays, affirmant que « le Tchad dispose d’opportunités significatives dans l’entrepreneuriat vert, mais manque de valorisation ».
Il a précisé que ce secteur, encore « naissant et en développement », se concentre principalement sur l’agropastoral, un domaine stratégique à fort impact en matière d’emplois, de sécurité alimentaire et de résilience climatique. Du côté des partenaires, la Fondation Tony Elumelu a réaffirmé son engagement en faveur de l’entrepreneuriat africain durable. Le chef d’équipe de la Fondation a exprimé son optimisme quant aux retombées de la rencontre, estimant que « cette journée sera un succès pour l’entrepreneuriat vert ».
Il a rappelé que « l’entrepreneuriat vert est un pilier pour le développement économique », en particulier dans des pays comme le Tchad, confrontés à des défis environnementaux et sociaux majeurs. À travers cette session écosystémique, l’ONAPE et ses partenaires entendent poser les bases d’une action concertée, capable de transformer les opportunités de l’économie verte en projets viables, porteurs d’emplois décents pour les jeunes.
Une étape de plus vers une croissance inclusive, durable et tournée vers l’avenir.
Organisée par l’Office national pour la promotion de l’emploi (ONAPE), en partenariat avec la Fondation Tony Elumelu et United Bank for Africa (UBA), la rencontre a réuni des acteurs publics, des partenaires techniques et financiers, ainsi que des jeunes porteurs de projets, autour d’un objectif commun : faire de l’économie verte un levier concret de création d’emplois au Tchad.
Ouvrant les travaux, le directeur général de l’ONAPE, Nassouradine Abakar Kessou, a inscrit cette initiative dans la dynamique des priorités gouvernementales. Selon lui, la session écosystémique « s’inscrit pleinement dans la mise en œuvre du programme du gouvernement » et répond directement « aux attentes de la jeunesse ». Il a insisté sur le caractère pressant de la démarche, soulignant qu’« il s’agit d’une urgence sociale parce qu’il faut créer des emplois pour la jeunesse », mais aussi d’« une assurance pour l’avenir ». Pour le DG de l’ONAPE, l’enjeu est avant tout collaboratif.
La session vise à « identifier des acteurs qui vont travailler ensemble » afin de structurer un écosystème capable d’accompagner efficacement les jeunes vers l’emploi et l’entrepreneuriat. Dans cette perspective, il a rappelé que pour l’ONAPE, cette séance de travail relève d’« une position stratégique » et traduit « un choix clair, celui de passer à l’action, d’aider les jeunes à avoir un emploi et entreprendre ».
Prenant la parole au nom du gouvernement, le secrétaire général du ministère de la Fonction publique, Baba Laye, a replacé la rencontre dans un contexte plus large de transformation économique. Il a indiqué que « la tenue de cette session intervient dans un contexte de mutation de développement », tout en reconnaissant que l’entrepreneuriat vert au Tchad fait encore face à « des défis de structure ».
Pour lui, l’objectif de la session est clair : « analyser les enjeux et proposer des solutions » adaptées aux réalités nationales. Baba Laye a également mis en lumière le potentiel encore sous-exploité du pays, affirmant que « le Tchad dispose d’opportunités significatives dans l’entrepreneuriat vert, mais manque de valorisation ».
Il a précisé que ce secteur, encore « naissant et en développement », se concentre principalement sur l’agropastoral, un domaine stratégique à fort impact en matière d’emplois, de sécurité alimentaire et de résilience climatique. Du côté des partenaires, la Fondation Tony Elumelu a réaffirmé son engagement en faveur de l’entrepreneuriat africain durable. Le chef d’équipe de la Fondation a exprimé son optimisme quant aux retombées de la rencontre, estimant que « cette journée sera un succès pour l’entrepreneuriat vert ».
Il a rappelé que « l’entrepreneuriat vert est un pilier pour le développement économique », en particulier dans des pays comme le Tchad, confrontés à des défis environnementaux et sociaux majeurs. À travers cette session écosystémique, l’ONAPE et ses partenaires entendent poser les bases d’une action concertée, capable de transformer les opportunités de l’économie verte en projets viables, porteurs d’emplois décents pour les jeunes.
Une étape de plus vers une croissance inclusive, durable et tournée vers l’avenir.
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Tchad : l’ONAPE, la Fondation Tony Elumelu et UBA mobilisés pour l’entrepreneuriat vert








