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ANALYSE

Tchad : L'ouvrage, "Le Maréchal du Tchad Idriss DEBY ITNO, un patriote sans égal", bientôt en librairie (Éditions Édilibres)


Alwihda Info | Par - 20 Mars 2021


Le premier livre de la série d’ouvrage consacrée aux leaders africains sera bientôt dans toutes les bonnes librairies du monde. Il est intitulé « Le Maréchal du Tchad Idriss DEBY ITNO, un patriote sans égal ». Nous publions en exclusivité les bonnes feuilles de cet ouvrage rédigé par Assane Ibrahim DIOP* et édité par les Éditions Édilibres, basées à Montréal (Canada). Une collection dirigée par l’ancien ministre centrafricain de la communication Adrien Poussou que nous recevrons d’ici-là pour nous expliquer les tenants et les aboutissants de ce projet prometteur.


Éditions Édilibres
Éditions Édilibres

Le premier livre de la série d’ouvrage consacrée aux leaders africains sera bientôt dans toutes les bonnes librairies du monde. Il est intitulé « Le Maréchal du Tchad Idriss DEBY ITNO, un patriote sans égal ».  Nous publions en exclusivité les bonnes feuilles de cet ouvrage rédigé par Assane Ibrahim DIOP* et édité par les Éditions Édilibres, basées à Montréal (Canada). Une collection dirigée par l’ancien ministre centrafricain de la communication Adrien Poussou que nous recevrons d’ici-là pour nous expliquer les tenants et les aboutissants de ce projet prometteur.
 
Les chemins qui mènent vers un homme politique sont aussi impénétrables que les voies du Seigneur.
 
Sans véritablement le connaître, je nourrissais une méfiance presque atavique à l’égard du Maréchal du Tchad Idriss DEBY ITNO. C’était parce que je me fiais aux rumeurs souvent infondées relayées à son sujet dans une certaine presse ainsi que sur les réseaux sociaux. Or, il se trouve que le démon de la calomnie, de la médisance, de la haine, de la méchanceté et des discussions inutiles et stériles sur des sujets qui n’en valent pas la peine s’est incrusté dans l’esprit même de notre temps et qu’il a littéralement étendu son emprise sur ces nouvelles technologies de communication, de telle sorte que ces outils sont désormais totalement disqualifiés et ne peuvent plus être considérés comme de sources fiables d’information. On aurait tort de se baser sur les échanges des réseaux sociaux, qui tournent parfois au pugilat, pour se faire une opinion sur une personnalité ou sur un sujet donné. […] 
Autrement dit, le Maréchal du Tchad Idriss DEBY ITNO apparaissait à mes yeux, selon les critères subjectifs de cette époque digitalisée, comme la personnification du mal absolu, comme un chef d’État qui ne serait intéressé que par les privilèges et les jouissances qu’offre le pouvoir suprême. Tout ceci a contribué à renforcer mes a priori négatifs à son encontre et le rendait peu crédible à mes yeux. […] 
C’est dire que même dans mes prévisions les plus folles, je n’aurais jamais imaginé que je pouvais un jour consacrer un livre pour dire du bien de ce président que je détestais tant. Plonger dans son parcours, tenter de donner à voir sa vraie personnalité dissimulée derrière le secret qu’il cultive parfois à l’excès, essayer de tordre le cou à certaines idées reçues, aux malveillantes rumeurs destinées à ternir son image, bref, remettre les choses à l’endroit et lui rendre justice (bien qu’il n’en ait pas besoin) ne faisait pas forcément partie de mon plan. […] 
 
À dire vrai, il y a quelques mois, j’étais loin de me douter que j’allais sacrifier du temps et de l’énergie à démontrer que le Maréchal du Tchad Idriss DEBY ITNO est un patriote sans égal. Cependant, je suis obligé d’avouer que non seulement l’entreprise a été gratifiante, mais sa pertinence me parait aujourd’hui éclatante. Comme quoi les chemins qui mènent vers un homme politique sont aussi impénétrables que les voies du Seigneur. Cela étant, il existe incontestablement une force immanente, appelons-la comme on veut, Dieu, Allah, Grand Architecte de l’Univers qui tient entre ses mains le destin des êtres et des choses. Certains faits sont tels qu’on ne pourrait pas leur trouver d’explication rationnelle. Et c’est le cas du curieux déroulement qui aura conduit à la rédaction de cet ouvrage. […] 
 


@Alwihda Info
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Un parcours inspirant
 
Mon parti pris était simple : montrer que chaque fois que le Maréchal du Tchad Idriss DEBY ITNO a reçu l’appel du destin, il ne s’est jamais détourné de sa mission. Cela s’est vérifié au début de la décennie 1990 quand la République du Tchad était en proie à des convulsions diverses et à deux doigts de basculer définitivement dans l’horreur. Le Maréchal du Tchad Idriss DEBY ITNO avait pris ses responsabilités et permis un changement de régime salutaire dans son pays, avec maturité et dignité. Cela s’est également vérifié lorsque, en mars 2020, des djihadistes de Boko Haram ont attaqué une base militaire située sur la presqu’île de Bohoma et tué lâchement au moins 98 militaires tchadiens. Le Maréchal du Tchad Idriss DEBY ITNO n’avait pas hésité à revêtir ses habits de commandant en chef des Forces armées tchadiennes pour se rendre sur le théâtre des opérations afin de défendre, en bon patriote, l’intégrité du territoire national, infligeant une sévère correction à ces « fous de Dieu ». Cet acte de bravoure rappellera toujours à la postérité le courage, la sagesse et la grandeur d’esprit d’un homme d’État qui, au tournant de l’Histoire, a pris l’option de se ranger aux côtés de son peuple et de lui ouvrir les écluses de l’avenir. En reconnaissance de ce sacrifice, son peuple l’a élevé à la dignité de Maréchal du Tchad.
La démarche consiste à démontrer que dans l’histoire contemporaine des peuples noirs, rarement un leader politique aura ainsi marqué les siens que le Maréchal du Tchad Idriss DEBY ITNO. Il demeure l’un des rares parmi les leaders africains à faire entendre sa voix qui est celle de la sagesse et de la raison depuis au moins un quart de siècle. Il a été de tous les combats pour la liberté et l’émancipation du continent africain. Avec des points de vue précis et des exemples concrets, je donnerai à voir, dans les lignes qui suivent, l’engagement désintéressé du Maréchal du Tchad Idriss DEBY ITNO au service de ses compatriotes, mais aussi des peuples africains. Il s’agit en effet de raconter le parcours d’une personnalité qui aura grandement marqué l’histoire du continent. Patriotisme, panafricanisme et politique volontariste en faveur de la préservation de l’environnement, voilà les trois éléments qui résument au mieux le point de vue privilégié dans le cadre de cet ouvrage. […] 
 
Justement, la première fois que j’ai vu physiquement cet homme à l’allure juvénile, c’était en décembre 2014, lors du premier Sommet international sur la paix et la sécurité en Afrique. La première impression que j’ai eue, c’est qu’il était différent des autres présidents. Il s’était habillé sobrement et ne montrait pas, comme le font souvent, malheureusement, les autres chefs d’État, qu’il était le maître absolu dans son pays.
Ce qui m’avait encore le plus frappé, c’était sa charge contre les Occidentaux lors de la cérémonie de clôture de ce sommet qui réunissait acteurs politiques, chercheurs, militaires et société civile, qu’il accusait d’avoir provoqué eux-mêmes les désordres en Afrique et de ne pas avoir assuré « le service après-vente » en Libye. Cela lui avait valu une standing-ovation de la salle
J’avais apprécié sa dignité et cette espèce de force tranquille qu’il dégageait. En somme, il avait l’allure d’un véritable leader. Malheureusement, le plus souvent, les grands leaders charismatiques ont la malchance de ne pas être prophètes chez eux. Voilà la raison pour laquelle on trouvera toujours quelqu’un parmi ses compatriotes qui a un grief contre lui.
Et pourtant, quel sens du devoir ! Son assurance n’a d’égale que sa maîtrise des situations les plus complexes telles que la crise qui a secoué son pays en ce 2 février 2008. Grâce à son tact, son calme et son immense sens d’analyse, il avait réussi à prendre le dessus contre ses ennemis dont le réel projet politique était d’avoir sa tête.
Généralement, la plupart des hommes publics en Afrique redoutent la presse. Le Maréchal du Tchad Idriss DEBY ITNO, lui, n’est jamais autant à l’aise que devant les journalistes. Il multiplie les blagues, ironise sur les sujets les plus sensibles, avec un accent affecté, sans jamais se départir de sa jovialité légendaire. Cet esprit libre, débatteur percutant, militant et dirigeant sans répit, est très porté sur les choses de l’esprit […] 
 

Un homme juste et sincère                                                                                                               
 
Le 4 janvier 2021, je suis allé au Palais Bourbon, le bâtiment abritant l’Assemblée nationale française, situé sur le quai d’Orsay, dans l’espoir de croiser un député. Parce que ces derniers temps, en tout cas récemment seulement, ce parlementaire qui se réclame de l’opposition française s’est découvert une nouvelle spécialité : pourfendeur des chefs d’État africains. Malheureusement, restrictions liées à la COVID-19 obligent, je n’ai pas été autorisé d’entrer dans le bâtiment afin d’accéder à la salle des pas perdus, ce lieu où journalistes et visiteurs occasionnels discutent traditionnellement avec les parlementaires. J’ai pourtant insisté auprès d’un soldat de la garde républicaine affecté à la sécurité de ce haut lieu de la démocratie française, usant de pratiquement tout mon arsenal de persuasion. En vain.
Inutile de préciser que j’étais furieux. Non pas après le membre de la garde républicaine qui ne faisait que respecter les consignes sanitaires en me refusant l’accès du Palais Bourbon, mais contre ce député qui se répand chaque jour sur son terrain de prédilection, les réseaux sociaux.
 
Soixante-douze heures avant, le 31 décembre 2020 pour être plus précis, ce dernier s’était fendu d’une publication sur sa page Facebook officielle pour s’en prendre au Maréchal du Tchad Idriss DEBY ITNO. En gros, et avec l’arrogance qu’on lui connaît, il avait écrit ces mots d’une rare violence : « […] Le Tchad, où se rend aujourd’hui Jean Castex [le Premier ministre français], est le parfait exemple de cette dérive. Depuis 1990, il y a donc trente ans, il est gouverné par Idriss DEBY. Ce militaire a d’abord été un guérillériste hostile avant de bénéficier une fois vainqueur du soutien de nos gouvernements successifs. Pour quel résultat ? Le Tchad, malgré ses mannes pétrolières et aurifères, malgré son cheptel parmi les plus importants d’Afrique, végète parmi les trois pays les plus pauvres du monde. La région du lac Tchad, où pullulent les djihadistes de Boko Haram, a été complètement abandonnée du pouvoir central, qui a été incapable de pallier l’assèchement du lac. Des masses de pauvres gens sans travail ni moyen de survie n’ont d’autres recours que de passer à la solde, même misérable des djihadistes. Idriss DEBY, qui s’est récemment intronisé maréchal, est pointé du doigt par les ONG de défense des droits humains. Amnesty Internationale alertait encore il y a quelques semaines sur la multiplication des [atteintes aux libertés fondamentales à l’approche des élections présidentielles de 2021]. L’indice de la démocratie éditée chaque année par le magazine The Economist considère même le Tchad comme l’une des cinq pires dictatures au monde ». Fin de citation.
Après avoir lu ces mots inutilement vexatoires, dont l’ineptie le disputait avec la virulence, je tenais coûte que coûte à rencontrer leur auteur, ce personnage aisément reconnaissable par son style atypique. En réalité, ce genre de personnage ne prospère que parce que personne ne prend le temps, ou le risque d’écouter, de noter, de relever les énormités qu’il assène à la file comme d’autres enfilent des perles. Mais cette fois, il était mal tombé.
Personnellement, j’aurais insisté pour lui poser deux questions fondamentales : est-ce que, durant toute son existence, il s’était déjà rendu une seule fois au Tchad ? Question subsidiaire, est-ce que, auparavant, il a eu le privilège de rencontrer le Maréchal du Tchad Idriss DEBY ITNO ? […] 
 
Le Maréchal du Tchad Idriss DEBY ITNO bénéficie d’une grande autorité naturelle. C’est un homme sûr de lui, exigeant, chaleureux et déterminé. Il veut un Tchad en paix, rassemblé et réconcilié avec lui-même. Un pays qui travaille et construit son avenir pour le progrès social, le bonheur du peuple et le salut de la nation.
Avec sa liberté de ton et son style de playboy, le Maréchal du Tchad Idriss DEBY ITNO est assurément un homme politique atypique, un tantinet provocateur. À la différence d’autres politiciens à l’expression sinueuse et souvent difficile à décoder, le Maréchal du Tchad Idriss DEBY ITNO ne s’encombre pas de fioriture. La langue de bois, il ne connaît pas. « Je ne comprends pas pourquoi nos amis occidentaux sont les seuls, à longueur de journée, à nous traiter de corrompus. D’autres pays, l’Arabie saoudite, la Chine, nous donnent des milliards, mais on ne les entend pas ! Je ne dis pas qu’il n’y a pas de corruption en Afrique, il y a de la corruption partout », déclarait-il avec lucidité.
Le Maréchal du Tchad Idriss DEBY ITNO est un homme de caractère, doué d’un sens aigu de la repartie et d’un franc-parler qui peut déconcerter. Énergique et tenace, il sait se montrer attentif aux autres et d’une grande générosité. Du militaire, il a gardé la clarté et la précision de son argumentation, le ton badin, taquin, voire coquin. À l’entendre plaisanter à propos de tout et de rien, on a quelque mal à l’imaginer dans la peau d’un homme d’État traitant des dossiers les plus délicats. Assorti d’une pointe de malice, l’humour chez lui est érigé en style de vie, à moins que ce ne soit en système de défense. À la clé, une volonté manifeste de séduire. Le regard, vif et perçant, tantôt caresse, tantôt mitraille l’assistance, en quête de complicité.
Le Maréchal du Tchad Idriss DEBY ITNO est un homme d’éthique et de générosité. Patriote sans égal, « il n’adhère pas à une cause. Il se donne, tout entier. Sans réticence. Il y a chez lui l’absolue passion de la justice sociale. Nul n’est plus respectueux de la justice, plus exigeant à l’égard de la vie. Il n’aime pas le bavardage. Par haine de la lâcheté ». […] 
 
* Assane Ibrahim DIOP est sénégalais. Ancien journaliste d’investigation, il a effectué toute sa carrière au Canada et s’est présentement reconverti dans le conseil en communication. Ce n’est pas le même individu que son confrère encore en activité au sein de la rédaction de RFI. Il s’agit d’une simple homonymie.
 
Malick Mahamat
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