Cette cérémonie a mis en lumière l’importance cruciale d’un accès équitable aux services numériques pour tous les citoyens tchadiens, considérés désormais comme un droit fondamental au même titre que l’eau, la santé ou l’éducation.
Les communications électroniques : un droit et un levier de paix
Dans son allocution, le Médiateur de la République, Saleh Kebzabo, a insisté sur la nécessité de reconnaître les communications électroniques comme un droit essentiel, et non comme un luxe réservé à une minorité.
« Ne pas y accéder, c’est être laissé en marge du savoir, de l’économie, de l’information et de la participation », a-t-il déclaré. Il a rappelé que la Médiature, en tant que défenseur des droits des citoyens, a le devoir d’intervenir lorsque ces droits sont menacés ou négligés.
Assurer un accès équitable, fiable et abordable aux services numériques s’inscrit donc pleinement dans sa mission.
Le Médiateur a également souligné le rôle fondamental des communications électroniques dans la préservation de la paix, de la cohésion sociale et du vivre-ensemble. Elles constituent, selon lui, un instrument d’alerte précoce, un outil de veille citoyenne, un canal d’information en période de crise, et un espace de dialogue indispensable à la stabilité du pays.
« Là où le lien numérique s’affaiblit, les risques de tension et d’exclusion augmentent », a-t-il averti.
Un secteur stratégique au cœur de la vision présidentielle
Ce rapport s’inscrit dans le Chantier n°1 du programme politique du Maréchal Mahamat Idriss Déby Itno, Président de la République, axé sur la préservation de la paix et de l’unité nationale. Le numérique, selon le Médiateur, est devenu un pilier essentiel du développement et de la cohésion nationale.
« Dès notre prise de fonction, nous avons lancé une étude approfondie sur l’état des communications électroniques afin de comprendre pourquoi ce service essentiel ne fonctionne pas comme il le devrait et comment y apporter des solutions durables », a expliqué Saleh Kebzabo.
Il a salué le soutien du gouvernement et a qualifié ce rapport de point de départ vers une nouvelle ère, où les communications électroniques seront un droit garanti, un outil de cohésion et un moteur de développement.
« Dans la République que nous construisons, Internet ne doit pas être un luxe, mais un droit social fondamental au service de la dignité de chaque citoyen tchadien », a-t-il affirmé.
Le gouvernement promet d’agir
Prenant la parole à son tour, le ministre d’État Liame Mahamat a reconnu les grands défis du secteur : les coûts élevés, la qualité de service insuffisante, et la faible régulation du marché des télécommunications.
Il a rappelé que les communications électroniques sont vitales pour la souveraineté nationale et la cohésion sociale, et a annoncé la volonté du gouvernement de mettre en œuvre les recommandations du rapport.
« L’objectif est d’assurer à chaque citoyen, où qu’il se trouve, le droit à la connectivité et à une intégration pleine dans la société numérique », a-t-il conclu.
La présentation de ce rapport marque une étape importante dans la réflexion nationale sur le numérique au Tchad.
Elle ouvre la voie à une politique publique ambitieuse visant à garantir l’accès universel, équitable et sécurisé aux communications électroniques — un enjeu désormais indissociable de la paix, du développement et de la dignité humaine.
Les communications électroniques : un droit et un levier de paix
Dans son allocution, le Médiateur de la République, Saleh Kebzabo, a insisté sur la nécessité de reconnaître les communications électroniques comme un droit essentiel, et non comme un luxe réservé à une minorité.
« Ne pas y accéder, c’est être laissé en marge du savoir, de l’économie, de l’information et de la participation », a-t-il déclaré. Il a rappelé que la Médiature, en tant que défenseur des droits des citoyens, a le devoir d’intervenir lorsque ces droits sont menacés ou négligés.
Assurer un accès équitable, fiable et abordable aux services numériques s’inscrit donc pleinement dans sa mission.
Le Médiateur a également souligné le rôle fondamental des communications électroniques dans la préservation de la paix, de la cohésion sociale et du vivre-ensemble. Elles constituent, selon lui, un instrument d’alerte précoce, un outil de veille citoyenne, un canal d’information en période de crise, et un espace de dialogue indispensable à la stabilité du pays.
« Là où le lien numérique s’affaiblit, les risques de tension et d’exclusion augmentent », a-t-il averti.
Un secteur stratégique au cœur de la vision présidentielle
Ce rapport s’inscrit dans le Chantier n°1 du programme politique du Maréchal Mahamat Idriss Déby Itno, Président de la République, axé sur la préservation de la paix et de l’unité nationale. Le numérique, selon le Médiateur, est devenu un pilier essentiel du développement et de la cohésion nationale.
« Dès notre prise de fonction, nous avons lancé une étude approfondie sur l’état des communications électroniques afin de comprendre pourquoi ce service essentiel ne fonctionne pas comme il le devrait et comment y apporter des solutions durables », a expliqué Saleh Kebzabo.
Il a salué le soutien du gouvernement et a qualifié ce rapport de point de départ vers une nouvelle ère, où les communications électroniques seront un droit garanti, un outil de cohésion et un moteur de développement.
« Dans la République que nous construisons, Internet ne doit pas être un luxe, mais un droit social fondamental au service de la dignité de chaque citoyen tchadien », a-t-il affirmé.
Le gouvernement promet d’agir
Prenant la parole à son tour, le ministre d’État Liame Mahamat a reconnu les grands défis du secteur : les coûts élevés, la qualité de service insuffisante, et la faible régulation du marché des télécommunications.
Il a rappelé que les communications électroniques sont vitales pour la souveraineté nationale et la cohésion sociale, et a annoncé la volonté du gouvernement de mettre en œuvre les recommandations du rapport.
« L’objectif est d’assurer à chaque citoyen, où qu’il se trouve, le droit à la connectivité et à une intégration pleine dans la société numérique », a-t-il conclu.
La présentation de ce rapport marque une étape importante dans la réflexion nationale sur le numérique au Tchad.
Elle ouvre la voie à une politique publique ambitieuse visant à garantir l’accès universel, équitable et sécurisé aux communications électroniques — un enjeu désormais indissociable de la paix, du développement et de la dignité humaine.
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Tchad : La Médiature de la République présente son rapport sur les communications électroniques








