Dans son allocution, Idriss Dokony Adiker est revenu sur le long processus qui a conduit à cette décision judiciaire, rappelant les différentes étapes ayant marqué la vie du comité depuis les assemblées générales du 24 mai 2025, à la fois ordinaire et extraordinaire.
« Depuis le 24 mai, nous avons tenu nos assemblées générales conformément à nos statuts. Malheureusement, certaines fédérations, pourtant invitées et accréditées, ont décidé de boycotter les travaux, puis ont tenté d’organiser une assemblée parallèle, en totale violation de nos textes », a déclaré le président du COST.
Il a dénoncé des manœuvres « contraires à la Charte olympique » et rappelé que les règles d’organisation des assemblées générales sont claires : une assemblée générale extraordinaire ne peut porter que sur un seul point à l’ordre du jour et doit être convoquée soit par deux tiers des membres, soit par le Comité International Olympique (CIO).
Le président a également souligné que la modification des statuts du COST s’inscrit dans une démarche de conformité à la nouvelle Charte olympique révisée en janvier 2025.
« Nous avons travaillé étroitement avec les juristes du CIO pour valider chaque modification. Le 23 avril 2025, nous avons reçu la confirmation officielle que nos nouveaux statuts sont conformes à la Charte », a-t-il précisé.
Pour des raisons logistiques et financières, les assemblées générales ordinaire et extraordinaire ont été tenues le même jour, une décision validée par les services juridiques du CIO, à condition que leurs ordres du jour soient distincts.
Idriss Dokony Adiker a également rappelé que la tenue de ces assemblées est essentielle à la gestion du Comité : « Sans validation du rapport financier et de l’audit par l’assemblée générale, la Solidarité olympique ne débloque pas les fonds de l’année suivante. »
Concernant la crise interne, le président du COST a tenu à clarifier la situation : « Le bureau dit “provisoire” n’a aucune base légale. Il n’est issu d’aucune assemblée générale et ne bénéficie d’aucune reconnaissance du CIO. Ceux qui se prétendent majoritaires ont quitté la séance en cours. Or, le pouvoir appartient à l’assemblée, pas à un groupe d’individus. »
Il a conclu en saluant la décision de la Cour d’appel, qui, selon lui, vient « restaurer la légalité, la cohésion et la stabilité au sein du mouvement olympique tchadien », tout en réaffirmant son engagement à poursuivre la mission du COST dans le respect de la Charte olympique et des principes du sport.
« Depuis le 24 mai, nous avons tenu nos assemblées générales conformément à nos statuts. Malheureusement, certaines fédérations, pourtant invitées et accréditées, ont décidé de boycotter les travaux, puis ont tenté d’organiser une assemblée parallèle, en totale violation de nos textes », a déclaré le président du COST.
Il a dénoncé des manœuvres « contraires à la Charte olympique » et rappelé que les règles d’organisation des assemblées générales sont claires : une assemblée générale extraordinaire ne peut porter que sur un seul point à l’ordre du jour et doit être convoquée soit par deux tiers des membres, soit par le Comité International Olympique (CIO).
Le président a également souligné que la modification des statuts du COST s’inscrit dans une démarche de conformité à la nouvelle Charte olympique révisée en janvier 2025.
« Nous avons travaillé étroitement avec les juristes du CIO pour valider chaque modification. Le 23 avril 2025, nous avons reçu la confirmation officielle que nos nouveaux statuts sont conformes à la Charte », a-t-il précisé.
Pour des raisons logistiques et financières, les assemblées générales ordinaire et extraordinaire ont été tenues le même jour, une décision validée par les services juridiques du CIO, à condition que leurs ordres du jour soient distincts.
Idriss Dokony Adiker a également rappelé que la tenue de ces assemblées est essentielle à la gestion du Comité : « Sans validation du rapport financier et de l’audit par l’assemblée générale, la Solidarité olympique ne débloque pas les fonds de l’année suivante. »
Concernant la crise interne, le président du COST a tenu à clarifier la situation : « Le bureau dit “provisoire” n’a aucune base légale. Il n’est issu d’aucune assemblée générale et ne bénéficie d’aucune reconnaissance du CIO. Ceux qui se prétendent majoritaires ont quitté la séance en cours. Or, le pouvoir appartient à l’assemblée, pas à un groupe d’individus. »
Il a conclu en saluant la décision de la Cour d’appel, qui, selon lui, vient « restaurer la légalité, la cohésion et la stabilité au sein du mouvement olympique tchadien », tout en réaffirmant son engagement à poursuivre la mission du COST dans le respect de la Charte olympique et des principes du sport.