Le tribunal de grande instance de N'Djamena a examiné, le jeudi 18 décembre 2025, l’affaire d’un jeune homme placé en détention préventive depuis quatre mois.
Poursuivi pour le vol présumé de la somme de 500 000 FCFA, l'accusé clame son innocence face à une partie civile absente. Le prévenu, dont l'identité n'a pas été révélée, travaillait comme chauffeur pour le compte d'un député. Selon ses déclarations à la barre, sa collaboration avec l'élu s'était achevée en de bons termes.
Cependant, suite au décès de son employeur, la famille du défunt a déposé une plainte contre lui, l’accusant d'avoir soustrait la somme de 500 000 FCFA au défunt. Placé sous mandat de dépôt à la maison d'arrêt de Klessoum depuis septembre dernier, le jeune homme a comparu à plusieurs reprises devant les juges.
Pourtant, depuis le début de la procédure, la partie civile (la famille du défunt) brille par son absence systématique aux audiences, ne fournissant aucun élément de preuve matériel pour étayer ses accusations. Les réquisitions du ministère public
Face à cette situation, l'accusé a catégoriquement nié les faits qui lui sont reprochés et a sollicité une mise en liberté provisoire. Le Procureur de la République, dans ses réquisitions, a relevé l'absence de preuves tangibles permettant d'établir la culpabilité du prévenu. Il a également souligné la défaillance de la partie civile qui ne s'est jamais présentée pour soutenir ses prétentions.
En conséquence, le ministère public s'est dit favorable à la demande de mise en liberté provisoire du jeune homme, en attendant la suite de l'instruction ou un jugement définitif. L'affaire a été mise en délibéré pour statuer sur cette demande de mise en liberté.
Poursuivi pour le vol présumé de la somme de 500 000 FCFA, l'accusé clame son innocence face à une partie civile absente. Le prévenu, dont l'identité n'a pas été révélée, travaillait comme chauffeur pour le compte d'un député. Selon ses déclarations à la barre, sa collaboration avec l'élu s'était achevée en de bons termes.
Cependant, suite au décès de son employeur, la famille du défunt a déposé une plainte contre lui, l’accusant d'avoir soustrait la somme de 500 000 FCFA au défunt. Placé sous mandat de dépôt à la maison d'arrêt de Klessoum depuis septembre dernier, le jeune homme a comparu à plusieurs reprises devant les juges.
Pourtant, depuis le début de la procédure, la partie civile (la famille du défunt) brille par son absence systématique aux audiences, ne fournissant aucun élément de preuve matériel pour étayer ses accusations. Les réquisitions du ministère public
Face à cette situation, l'accusé a catégoriquement nié les faits qui lui sont reprochés et a sollicité une mise en liberté provisoire. Le Procureur de la République, dans ses réquisitions, a relevé l'absence de preuves tangibles permettant d'établir la culpabilité du prévenu. Il a également souligné la défaillance de la partie civile qui ne s'est jamais présentée pour soutenir ses prétentions.
En conséquence, le ministère public s'est dit favorable à la demande de mise en liberté provisoire du jeune homme, en attendant la suite de l'instruction ou un jugement définitif. L'affaire a été mise en délibéré pour statuer sur cette demande de mise en liberté.
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Tchad : Maison d’arrêt de Klessoum, un chauffeur poursuivi pour un vol de 500 000 FCFA réclame sa liberté







