Le manque d’opportunités professionnelles au Tchad, en particulier dans les grandes provinces, conduit de nombreux jeunes à commettre des actes illégaux. Un nombre croissant d’entre eux comparaissent devant la justice pour vols aggravés, ou vols à main armée.
Ce mardi 18 novembre 2025, le ministère public du Tribunal de grande instance de N’Djamena a examiné plusieurs affaires impliquant de jeunes prévenus ayant enfreint la loi dans l’espoir de gagner leur vie plus facilement. L’un d’eux a reconnu les faits, invoquant le manque de travail et de ressources financières comme principal motif de son passage à l’acte.
Un autre cas concerne un jeune homme originaire de Massaguet, venu dans la capitale pour trouver un emploi. Après plusieurs tentatives infructueuses, il a escaladé un mur pour voler une brouette, dans l’idée de lancer sa propre activité. Surpris par le propriétaire, il a été appréhendé et conduit devant les officiers de police judiciaire, à qui il a expliqué que son geste était motivé par le désir de devenir entrepreneur.
À l’issue de l’audience, il a été condamné à 12 mois de prison avec sursis. L’insuffisance des revenus constitue également un facteur aggravant. Un autre prévenu a tenté de justifier son délit en ces termes : « Mon salaire ne me suffit pas pour subvenir à mes besoins ; c’est pour cela que j’ai commis cet acte. »
Ce mardi 18 novembre 2025, le ministère public du Tribunal de grande instance de N’Djamena a examiné plusieurs affaires impliquant de jeunes prévenus ayant enfreint la loi dans l’espoir de gagner leur vie plus facilement. L’un d’eux a reconnu les faits, invoquant le manque de travail et de ressources financières comme principal motif de son passage à l’acte.
Un autre cas concerne un jeune homme originaire de Massaguet, venu dans la capitale pour trouver un emploi. Après plusieurs tentatives infructueuses, il a escaladé un mur pour voler une brouette, dans l’idée de lancer sa propre activité. Surpris par le propriétaire, il a été appréhendé et conduit devant les officiers de police judiciaire, à qui il a expliqué que son geste était motivé par le désir de devenir entrepreneur.
À l’issue de l’audience, il a été condamné à 12 mois de prison avec sursis. L’insuffisance des revenus constitue également un facteur aggravant. Un autre prévenu a tenté de justifier son délit en ces termes : « Mon salaire ne me suffit pas pour subvenir à mes besoins ; c’est pour cela que j’ai commis cet acte. »
Menu
Tchad : à N’Djamena, le chômage pousse de plus en plus de jeunes vers la criminalité








