
Le Centre Culturel Nicodème de Pala a servi de cadre ce lundi à la cérémonie officielle de clôture du processus de relocalisation des six enclaves humaines situées à l’intérieur du parc national de Sena Oura (PNSO), dans la province du Mayo-Kebbi Ouest.
Lancé en 2018, ce processus de relocalisation a concerné les villages de Demi-Faya, Mbigoué, Sodjia, Yapala, Zangati-Vri (dans le canton Dari) et Oinlenga (dans le canton Goumadji).
Il a été conduit avec l’appui des partenaires techniques et financiers, dans le cadre du projet d’appui au complexe transfrontalier BSB Yamoussa, Bouba Djida qui œuvre pour la conservation de la biodiversité à la frontière entre le Tchad et le Cameroun.
Selon Paque Molingar, conservateur du parc national de Sena-Oura-Bouba Ndjida, cette relocalisation s’est faite dans un esprit de dialogue et de pleine adhésion communautaire, conformément aux normes internationales. Elle a respecté le principe du consentement libre, préalable à l’information des populations concernées.
Le processus a permis la mise en place d’infrastructures sociales de base, telles que des points d’eau, des écoles et des projets communautaires, contribuant ainsi à l’amélioration significative des conditions de vie des ménages relocalisés. Dans son discours de lancement, Abdelmanane Khatab, délégué général du gouvernement auprès de la province du Mayo-Kebbi Ouest, a salué une démarche qui, au-delà de la protection des ressources naturelles du PNSO, s’inscrit dans une dynamique de développement durable.
« Cette opération a été accompagnée de projets générateurs de revenus, renforçant les efforts de développement local, tout en assurant une gestion durable du parc, conformément à la vision des plus hautes autorités du pays », a-t-il déclaré. La cérémonie a rassemblé autorités administratives, chefs traditionnels, communautés bénéficiaires, ainsi que les partenaires techniques et financiers, notamment la KfW, le WCS et la GIZ.
En prélude à l’événement, les participants ont effectué des visites de terrain dans les villages relocalisés, ce qui leur a permis d’évaluer les réalisations sur le terrain et de recueillir les témoignages des populations bénéficiaires.
Lancé en 2018, ce processus de relocalisation a concerné les villages de Demi-Faya, Mbigoué, Sodjia, Yapala, Zangati-Vri (dans le canton Dari) et Oinlenga (dans le canton Goumadji).
Il a été conduit avec l’appui des partenaires techniques et financiers, dans le cadre du projet d’appui au complexe transfrontalier BSB Yamoussa, Bouba Djida qui œuvre pour la conservation de la biodiversité à la frontière entre le Tchad et le Cameroun.
Selon Paque Molingar, conservateur du parc national de Sena-Oura-Bouba Ndjida, cette relocalisation s’est faite dans un esprit de dialogue et de pleine adhésion communautaire, conformément aux normes internationales. Elle a respecté le principe du consentement libre, préalable à l’information des populations concernées.
Le processus a permis la mise en place d’infrastructures sociales de base, telles que des points d’eau, des écoles et des projets communautaires, contribuant ainsi à l’amélioration significative des conditions de vie des ménages relocalisés. Dans son discours de lancement, Abdelmanane Khatab, délégué général du gouvernement auprès de la province du Mayo-Kebbi Ouest, a salué une démarche qui, au-delà de la protection des ressources naturelles du PNSO, s’inscrit dans une dynamique de développement durable.
« Cette opération a été accompagnée de projets générateurs de revenus, renforçant les efforts de développement local, tout en assurant une gestion durable du parc, conformément à la vision des plus hautes autorités du pays », a-t-il déclaré. La cérémonie a rassemblé autorités administratives, chefs traditionnels, communautés bénéficiaires, ainsi que les partenaires techniques et financiers, notamment la KfW, le WCS et la GIZ.
En prélude à l’événement, les participants ont effectué des visites de terrain dans les villages relocalisés, ce qui leur a permis d’évaluer les réalisations sur le terrain et de recueillir les témoignages des populations bénéficiaires.