Le fossé entre le discours officiel souvent lu au micro, et sous les caméras pour berner la population, comme le dénoncent de nombreux citoyens, et l'absence de mesures concrètes et visibles sur le terrain, alimente le désespoir et le sentiment que tout semble arrêté d'avancer pour la couche vulnérable. 
   
Un tour dans les quartiers périphériques de la capitale tchadienne, la situation reste toujours alarmante, la pauvreté bat son plein, avec le manque d'infrastructures de logement, le manque d'alimentation de qualité et quantité, etc.  Où sont les investissements massifs dans l'irrigation, la formation professionnelle adaptée aux métiers ruraux, ou les infrastructures de transformation agricole ? Où est la gouvernance transparente qui garantirait que les recettes notamment pétrolières servent réellement à financer les projets structurants pour l'emploi des jeunes et la résilience climatique ?
   
 Le développement d'un pays n'est pas une affaire de communication, mais de stratégie, de courage politique et d'exécution. Tant que les opportunités ne seront pas créées et valorisées dans les champs, les ateliers et les écosystèmes productifs, l'espoir d'un poste de bureau restera l'unique bouée de sauvetage.
   
Ce n'est pas le rêve du bureau qui est le problème, mais l'absence de perspectives crédibles en dehors de celui-ci.  Le Tchad a besoin de bâtisseurs, d'agriculteurs modernes, d'éleveurs innovants et d'entrepreneurs ancrés dans les réalités de leur sol. Pour y parvenir, il faut des politiques publiques transformatrices qui accompagnent l'urgence sociale et environnementale, et non de vaines déclarations qui ne font qu'amplifier la souffrance d'une population qui crie au manque d'emploi.
   
 Le véritable développement du Tchad ne s'écrira pas dans les bureaux climatisés, mais dans la sueur et la détermination des Tchadiens sur le terrain, à condition que l'État leur en donne, enfin, les moyens concrets. Pourtant, le pays de Toumanï est potentiellement riche, mais la transformation de ses ressources au profit de sa population pose problème. À quand la fin des discours pour céder place à la concrétisation pour le bien être sociale ?
  
				 Un tour dans les quartiers périphériques de la capitale tchadienne, la situation reste toujours alarmante, la pauvreté bat son plein, avec le manque d'infrastructures de logement, le manque d'alimentation de qualité et quantité, etc.  Où sont les investissements massifs dans l'irrigation, la formation professionnelle adaptée aux métiers ruraux, ou les infrastructures de transformation agricole ? Où est la gouvernance transparente qui garantirait que les recettes notamment pétrolières servent réellement à financer les projets structurants pour l'emploi des jeunes et la résilience climatique ?
 Le développement d'un pays n'est pas une affaire de communication, mais de stratégie, de courage politique et d'exécution. Tant que les opportunités ne seront pas créées et valorisées dans les champs, les ateliers et les écosystèmes productifs, l'espoir d'un poste de bureau restera l'unique bouée de sauvetage.
Ce n'est pas le rêve du bureau qui est le problème, mais l'absence de perspectives crédibles en dehors de celui-ci.  Le Tchad a besoin de bâtisseurs, d'agriculteurs modernes, d'éleveurs innovants et d'entrepreneurs ancrés dans les réalités de leur sol. Pour y parvenir, il faut des politiques publiques transformatrices qui accompagnent l'urgence sociale et environnementale, et non de vaines déclarations qui ne font qu'amplifier la souffrance d'une population qui crie au manque d'emploi.
 Le véritable développement du Tchad ne s'écrira pas dans les bureaux climatisés, mais dans la sueur et la détermination des Tchadiens sur le terrain, à condition que l'État leur en donne, enfin, les moyens concrets. Pourtant, le pays de Toumanï est potentiellement riche, mais la transformation de ses ressources au profit de sa population pose problème. À quand la fin des discours pour céder place à la concrétisation pour le bien être sociale ?
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 Tchad : est-ce qu'un pays peut se développer à travers les discours sans action concrète ?
 
				 Tchad : est-ce qu'un pays peut se développer à travers les discours sans action concrète ?
			 
 

 
					  
 
					  
 
					  
 
					  






