À chaque période de fêtes de Noël, Saint-Valentin, fêtes traditionnelles ou célébrations religieuses, un phénomène revient souvent dans les discussions : certains hommes deviennent soudainement distants, évitent les rendez-vous, ou prennent leurs distances avec les femmes. En cause, selon plusieurs témoignages, la pression financière liée aux dépenses jugées obligatoires durant ces périodes festives.
Les fêtes, un moment de joie… mais aussi de pression
Les fêtes sont censées être des moments de partage, d’amour et de générosité. Pourtant, pour beaucoup d’hommes, elles riment aussi avec stress financier. Cadeaux, sorties, habits, contributions familiales…, les charges s’accumulent. « Quand les fêtes approchent, tout le monde attend quelque chose de toi. Si tu n’as pas les moyens, tu préfères t’éloigner plutôt que d’avoir honte », confie Moussa, 29 ans. Cette pression pousse certains à éviter toute relation, par peur de ne pas être à la hauteur des attentes.
Les femmes face au silence et à l’incompréhension
Du côté des femmes, cette fuite soudaine est souvent mal comprise. Beaucoup parlent de déception et de frustration. « Tout allait bien entre nous, mais dès que les fêtes se rapprochent, il ne m’appelle plus. On dirait que je suis devenue un problème », témoigne Amina, 24 ans. Pour certaines, cette attitude donne l’impression que l’amour est conditionné par l’argent.
L’argent au cœur des relations modernes
Dans plusieurs cultures, l’homme est encore perçu comme celui qui doit assurer financièrement. Cette responsabilité pèse lourd, surtout en période de crise économique. « Ce n’est pas que je n’aime pas, mais je n’ai pas envie qu’on me juge sur ce que je peux offrir », explique Mahamat, 35 ans. Ainsi, au lieu de dialoguer, beaucoup choisissent la fuite comme solution.
Entre attentes sociales et réalité économique
Les réseaux sociaux accentuent aussi cette pression. Photos de cadeaux, voyages, sorties luxueuses…, tout donne l’impression que fêter signifie dépenser beaucoup. « Quand tu vois ce que les autres publient, tu te dis que tu n’es pas à la hauteur. Alors tu te retires », ajoute Saleh, étudiant. Cette comparaison constante crée un malaise profond dans les relations.
Vers une autre vision des fêtes et de l’amour
Pourtant, plusieurs voix appellent à revoir la manière de célébrer. L’amour ne devrait pas se mesurer à la valeur d’un cadeau. « Un message sincère ou un moment partagé vaut plus qu’un cadeau cher », estime Fatimé, mère de famille. Le dialogue, la compréhension et la simplicité pourraient aider à préserver les relations même en période de fêtes. À l’approche des fêtes, la fuite de certains hommes révèle surtout une peur : celle de ne pas pouvoir répondre aux attentes financières. Plutôt que de s’éloigner, la communication et l’empathie restent essentielles. Les fêtes devraient être des moments de joie partagée, pas une source de séparation.
Les fêtes, un moment de joie… mais aussi de pression
Les fêtes sont censées être des moments de partage, d’amour et de générosité. Pourtant, pour beaucoup d’hommes, elles riment aussi avec stress financier. Cadeaux, sorties, habits, contributions familiales…, les charges s’accumulent. « Quand les fêtes approchent, tout le monde attend quelque chose de toi. Si tu n’as pas les moyens, tu préfères t’éloigner plutôt que d’avoir honte », confie Moussa, 29 ans. Cette pression pousse certains à éviter toute relation, par peur de ne pas être à la hauteur des attentes.
Les femmes face au silence et à l’incompréhension
Du côté des femmes, cette fuite soudaine est souvent mal comprise. Beaucoup parlent de déception et de frustration. « Tout allait bien entre nous, mais dès que les fêtes se rapprochent, il ne m’appelle plus. On dirait que je suis devenue un problème », témoigne Amina, 24 ans. Pour certaines, cette attitude donne l’impression que l’amour est conditionné par l’argent.
L’argent au cœur des relations modernes
Dans plusieurs cultures, l’homme est encore perçu comme celui qui doit assurer financièrement. Cette responsabilité pèse lourd, surtout en période de crise économique. « Ce n’est pas que je n’aime pas, mais je n’ai pas envie qu’on me juge sur ce que je peux offrir », explique Mahamat, 35 ans. Ainsi, au lieu de dialoguer, beaucoup choisissent la fuite comme solution.
Entre attentes sociales et réalité économique
Les réseaux sociaux accentuent aussi cette pression. Photos de cadeaux, voyages, sorties luxueuses…, tout donne l’impression que fêter signifie dépenser beaucoup. « Quand tu vois ce que les autres publient, tu te dis que tu n’es pas à la hauteur. Alors tu te retires », ajoute Saleh, étudiant. Cette comparaison constante crée un malaise profond dans les relations.
Vers une autre vision des fêtes et de l’amour
Pourtant, plusieurs voix appellent à revoir la manière de célébrer. L’amour ne devrait pas se mesurer à la valeur d’un cadeau. « Un message sincère ou un moment partagé vaut plus qu’un cadeau cher », estime Fatimé, mère de famille. Le dialogue, la compréhension et la simplicité pourraient aider à préserver les relations même en période de fêtes. À l’approche des fêtes, la fuite de certains hommes révèle surtout une peur : celle de ne pas pouvoir répondre aux attentes financières. Plutôt que de s’éloigner, la communication et l’empathie restent essentielles. Les fêtes devraient être des moments de joie partagée, pas une source de séparation.
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Tchad : l’approche des fêtes, quand la peur de dépenser fait fuir certains hommes







