L’événement s’est tenu en présence du Délégué général du Barh El Gazel, des autorités administratives et locales, des responsables environnementaux, des leaders religieux, des représentants des femmes à travers le CELIAF, ainsi que des représentants des Comités provinciaux, départementaux et cantonaux d’action, sans oublier les jeunes.
Dans son allocution, Mbaindolébé Gabin, spécialiste en sauvegarde environnementale de SWEDD+, a salué l’assistance avant de rappeler aux participants : « Cet atelier n’est qu’une étape. Nous comptons sur vous pour être les relais de ces informations cruciales auprès de vos communautés. »
De son côté, Abdelaziz Tchanglang Tokama, Délégué général du gouvernement auprès de la province du Barh El Gazel, a exprimé sa gratitude au projet SWEDD+ et rappelé les défis majeurs auxquels le Tchad est confronté : l’insécurité aux frontières, les effets du changement climatique et la pauvreté qui touche une grande partie de la population. Il a souligné que la situation des femmes et des jeunes demeure particulièrement préoccupante et que « l’urgence d’agir est incontestable ». Selon lui, cet atelier s’inscrit dans la vision du Maréchal Mahamat Idriss Déby Itno, notamment en matière d’autonomisation des femmes et des adolescents.
Les participants échangeront autour de quatre documents clés : le Cadre de gestion environnementale et sociale (CGES), le Plan de mobilisation des parties prenantes (PMPP), le Mécanisme de gestion des plaintes (MGP), et le Plan de gestion de la main-d’œuvre (PGMO).
Ce projet est financé par la Banque mondiale.
Dans son allocution, Mbaindolébé Gabin, spécialiste en sauvegarde environnementale de SWEDD+, a salué l’assistance avant de rappeler aux participants : « Cet atelier n’est qu’une étape. Nous comptons sur vous pour être les relais de ces informations cruciales auprès de vos communautés. »
De son côté, Abdelaziz Tchanglang Tokama, Délégué général du gouvernement auprès de la province du Barh El Gazel, a exprimé sa gratitude au projet SWEDD+ et rappelé les défis majeurs auxquels le Tchad est confronté : l’insécurité aux frontières, les effets du changement climatique et la pauvreté qui touche une grande partie de la population. Il a souligné que la situation des femmes et des jeunes demeure particulièrement préoccupante et que « l’urgence d’agir est incontestable ». Selon lui, cet atelier s’inscrit dans la vision du Maréchal Mahamat Idriss Déby Itno, notamment en matière d’autonomisation des femmes et des adolescents.
Les participants échangeront autour de quatre documents clés : le Cadre de gestion environnementale et sociale (CGES), le Plan de mobilisation des parties prenantes (PMPP), le Mécanisme de gestion des plaintes (MGP), et le Plan de gestion de la main-d’œuvre (PGMO).
Ce projet est financé par la Banque mondiale.