Le Centre national des œuvres universitaires (CNOU) tient depuis ce matin, au Centre national de recherche pour le développement (CNRD), une conférence regroupant l'ensemble de ses représentants provinciaux.
La réunion de trois jours a pour objectif fondamental de faire le bilan de l'année écoulée, et de définir de nouvelles orientations pour plus d'efficacité. Grâce à un "engagement soutenu" de tout le personnel, le bilan est positif, se réjouit le directeur général du CNOU, Pr Mahamat Issa Hassan.
Il s'agit en premier de l'amélioration de la gouvernance qui s'est traduite par "l'adoption des procédures claires et normalisées" de gestion des ressources humaines et la réhabilitation "progressive" des infrastructures universitaires, notamment les cités, les restaurants et les espaces sociaux.
L'introduction des outils numériques pour assouplir des démarches administratives est aussi à inscrire dans le registre des réalisations. Le bilan est certes positif, mais les défis restent grands. Le directeur général du CNOU sollicite "des efforts supplémentaires" pour les relever.
Ces défis sont entre autres, la faiblesse de recouvrement des recettes propres de l'institution, la pléthore des étudiants qui impacte l'offre des services et un manque de bonne gouvernance. En effet, une partie importante du personnel du CNOU réside à la capitale. Ces difficultés n'empêchent pas le CNOU de penser une nouvelle stratégie de gestion.
Désormais, le CNOU envisage moderniser les infrastructures universitaires, gérer rationnellement et de façon transparente ses ressources. L'institution désire dialoguer en permanence avec les étudiants et ses partenaires. Via cette nouvelle politique, le CNOU ambitionne de façon concrète, d’améliorer la qualité des services sociaux et universitaires, créer un environnement favorable à la réussite académique et au bien-être de l'étudiant.
Il désire enfin être "un instrument moderne, crédible, capable de répondre aux standards internationaux en matière de gestion des œuvres universitaires".
La réunion de trois jours a pour objectif fondamental de faire le bilan de l'année écoulée, et de définir de nouvelles orientations pour plus d'efficacité. Grâce à un "engagement soutenu" de tout le personnel, le bilan est positif, se réjouit le directeur général du CNOU, Pr Mahamat Issa Hassan.
Il s'agit en premier de l'amélioration de la gouvernance qui s'est traduite par "l'adoption des procédures claires et normalisées" de gestion des ressources humaines et la réhabilitation "progressive" des infrastructures universitaires, notamment les cités, les restaurants et les espaces sociaux.
L'introduction des outils numériques pour assouplir des démarches administratives est aussi à inscrire dans le registre des réalisations. Le bilan est certes positif, mais les défis restent grands. Le directeur général du CNOU sollicite "des efforts supplémentaires" pour les relever.
Ces défis sont entre autres, la faiblesse de recouvrement des recettes propres de l'institution, la pléthore des étudiants qui impacte l'offre des services et un manque de bonne gouvernance. En effet, une partie importante du personnel du CNOU réside à la capitale. Ces difficultés n'empêchent pas le CNOU de penser une nouvelle stratégie de gestion.
Désormais, le CNOU envisage moderniser les infrastructures universitaires, gérer rationnellement et de façon transparente ses ressources. L'institution désire dialoguer en permanence avec les étudiants et ses partenaires. Via cette nouvelle politique, le CNOU ambitionne de façon concrète, d’améliorer la qualité des services sociaux et universitaires, créer un environnement favorable à la réussite académique et au bien-être de l'étudiant.
Il désire enfin être "un instrument moderne, crédible, capable de répondre aux standards internationaux en matière de gestion des œuvres universitaires".