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Tchad : le ministre de la Justice dénonce la surfacturation des vivres dans les prisons
Le ministre de la Justice, chargé des droits humains, Mahamat Ahamad Alhabo entend mettre un terme à la surfacturation des prix des vivres, fournies aux institutions pénitentiaires du Tchad.
A cet effet, il a adressé le 19 avril dernier, une note circulaire à l'attention des Procureurs généraux des Cours d'appel du pays. Ces produits concernent, entre autres, le mil, le riz, le sucre, le manioc, l’huile, la tomate, l’oignon, le sel, le poisson, le thé et le savon.
« Il nous a été donné de constater que la plupart des fournisseurs des vivres des maisons d’arrêt exagèrent les prix de certaines denrées alimentaires, lors de l’établissement des factures », écrit le ministre de la Justice.
Cela est, regrette le membre du gouvernement, contraire à l’article 2 alinéa 3 des termes du contrat portant livraison des vivres dans les maisons d’arrêt du Tchad.
A cet effet, il a adressé le 19 avril dernier, une note circulaire à l'attention des Procureurs généraux des Cours d'appel du pays. Ces produits concernent, entre autres, le mil, le riz, le sucre, le manioc, l’huile, la tomate, l’oignon, le sel, le poisson, le thé et le savon.
« Il nous a été donné de constater que la plupart des fournisseurs des vivres des maisons d’arrêt exagèrent les prix de certaines denrées alimentaires, lors de l’établissement des factures », écrit le ministre de la Justice.
Cela est, regrette le membre du gouvernement, contraire à l’article 2 alinéa 3 des termes du contrat portant livraison des vivres dans les maisons d’arrêt du Tchad.
