Pour ne pas être surpris par le temps, le gouvernement a dévoilé le 22 février 2021, sa stratégie de campagne de vaccination. L’objectif est de permettre au plus grand nombre de Togolais, d’être vacciné le plus rapidement possible contre le Covid-19.
La campagne de vaccination va se dérouler en plusieurs phases. La première phase va concerner le personnel de santé à savoir : le personnel des centres de traitement Covid-19, des laboratoires de diagnostic Covid-19, les agents chargés de la surveillance et de l’investigation, les agents des structures sanitaires publiques, confessionnelles et privées, le personnel soignant des Forces Armées Togolaises (FAT), le personnel soignant des entreprises, des officines de pharmacie, des points d’entrée (aéroport, port et frontières terrestres), les agents de santé communautaires et les apprenants des écoles de formation en santé.
Sont également concernés par cette première phase de vaccination, les personnes à haut risque recensées dans la région sanitaire du Grand Lomé et composées de personnes âgées de 50 ans et plus, de personnes de moins de 50 ans qui ont des conditions sous-jacentes (affections chroniques et autres facteurs de risque qui les exposent à un risque de décès plus élevé), ainsi que les détenus, les déplacés et les réfugiés.
Le gouvernement est en train de mettre en place une campagne de communication consistant à apporter des réponses concrètes aux éventuelles préoccupations du public sur les vaccins commandés. « Actuellement, deux types de vaccins sont retenus par le Togo. Il s’agit du vaccin de Pfizer et AstraZénéca. Selon le groupe stratégique consultatif d’experts de l’OMS sur la vaccination, chaque individu devrait recevoir deux doses avec un intervalle de 28 jours au moins », informe le gouvernement.
Bien que le vaccin AstraZénéca soit sans danger pour presque tout le monde, il y a quelques personnes qui ne doivent pas recevoir ce vaccin. Il s’agit des : femmes enceintes et femmes allaitantes, des personnes ayant eu un antécédent de réaction allergique systémique grave (choc anaphylactique ou œdème de Quincke), de personnes ayant eu un antécédent de réaction allergique à une dose précédente de ce vaccin, des personnes atteintes de maladies infectieuses en phase aigüe (y compris le Covid-19), précisent les autorités sanitaires. Aussi, précisent-elles, le vaccin AstraZénéca de même que la plupart des vaccins homologués par l’OMS, aura des effets secondaires sur les personnes. Ces effets, disent les experts durent généralement quelques jours et se limitent en : une douleur au site d’injection avec rougeur, induration, prurit, céphalée, nausées, fatigue, arthralgie, diarrhée et arthromyalgie.
La campagne de vaccination va se dérouler en plusieurs phases. La première phase va concerner le personnel de santé à savoir : le personnel des centres de traitement Covid-19, des laboratoires de diagnostic Covid-19, les agents chargés de la surveillance et de l’investigation, les agents des structures sanitaires publiques, confessionnelles et privées, le personnel soignant des Forces Armées Togolaises (FAT), le personnel soignant des entreprises, des officines de pharmacie, des points d’entrée (aéroport, port et frontières terrestres), les agents de santé communautaires et les apprenants des écoles de formation en santé.
Sont également concernés par cette première phase de vaccination, les personnes à haut risque recensées dans la région sanitaire du Grand Lomé et composées de personnes âgées de 50 ans et plus, de personnes de moins de 50 ans qui ont des conditions sous-jacentes (affections chroniques et autres facteurs de risque qui les exposent à un risque de décès plus élevé), ainsi que les détenus, les déplacés et les réfugiés.
Le gouvernement est en train de mettre en place une campagne de communication consistant à apporter des réponses concrètes aux éventuelles préoccupations du public sur les vaccins commandés. « Actuellement, deux types de vaccins sont retenus par le Togo. Il s’agit du vaccin de Pfizer et AstraZénéca. Selon le groupe stratégique consultatif d’experts de l’OMS sur la vaccination, chaque individu devrait recevoir deux doses avec un intervalle de 28 jours au moins », informe le gouvernement.
Bien que le vaccin AstraZénéca soit sans danger pour presque tout le monde, il y a quelques personnes qui ne doivent pas recevoir ce vaccin. Il s’agit des : femmes enceintes et femmes allaitantes, des personnes ayant eu un antécédent de réaction allergique systémique grave (choc anaphylactique ou œdème de Quincke), de personnes ayant eu un antécédent de réaction allergique à une dose précédente de ce vaccin, des personnes atteintes de maladies infectieuses en phase aigüe (y compris le Covid-19), précisent les autorités sanitaires. Aussi, précisent-elles, le vaccin AstraZénéca de même que la plupart des vaccins homologués par l’OMS, aura des effets secondaires sur les personnes. Ces effets, disent les experts durent généralement quelques jours et se limitent en : une douleur au site d’injection avec rougeur, induration, prurit, céphalée, nausées, fatigue, arthralgie, diarrhée et arthromyalgie.