Emmerson Mnangagwa s’exprimait lors du forum de haut niveau sur la résolution de la dette qui s’est tenu lundi à Harare, la capitale du pays.
Le président de la Banque africaine de développement, Akinwumi Adesina, et le facilitateur des dialogues de haut niveau, l’ancien président du Mozambique Joaquim Chissano, ont également pris la parole, de même que des représentants du gouvernement, des partenaires au développement, du secteur privé, des anciens propriétaires d’exploitations agricoles et des organisations de la société civile.
« Malgré les défis associés au surendettement et exacerbés par l’albatros des sanctions économiques illégales, le Zimbabwe est en train de franchir des étapes clés pour faire avancer notre pays pour l’intérêt de notre peuple », a rassuré le président Mnangagwa.
Les quatre principaux piliers de mise en œuvre du programme de réforme du Zimbabwe sont la réforme de la gouvernance, la réforme du régime foncier, l’indemnisation des anciens exploitants agricoles et la résolution des accords bilatéraux de protection des investissements.
Selon M. Adesina, « le Zimbabwe ne peut pas gravir la colline de la reprise économique en portant un sac de dettes sur le dos. Il est temps de procéder à un apurement complet des arriérés et de résoudre le problème de la dette du Zimbabwe. Mais il ne s’agit pas d’une promenade de santé. Nous devons faire face à l’histoire, pour faire l’histoire ».
Il a ajouté que « les sanctions économiques enfoncent le Zimbabwe dans une dette insoutenable. La dette elle-même n’est pas aussi débilitante que les arriérés de paiement, qui empêchent le pays d’accéder à des financements concessionnels internationaux ou à d’autres sources de revenus ou de financement moins onéreuses pour rembourser ses obligations. »
En ce qui concerne les réformes foncières et les indemnisations, M. Adesina a déclaré que la banque travaille avec le gouvernement du Zimbabwe pour développer des instruments et des structures financières innovants qui peuvent être utilisés pour avancer la mobilisation de 3,5 milliards de dollars pour les indemnisations.
S'agissant des réformes électorales, le président Mnangagwa a assuré aux parties prenantes que le pays avait mis en place les mécanismes nécessaires pour garantir des élections pacifiques, libres, équitables et crédibles, prévues pour le mois d’août de cette année.
Il faut rappeler qu’en décembre 2022, le gouvernement zimbabwéen avait mis en place une plateforme de dialogue structuré avec l’ensemble des créanciers et des partenaires au développement, afin d’institutionnaliser un dialogue structuré sur les réformes économiques et de gouvernance pour soutenir le processus d’apurement des arriérés et de résolution de la dette.
Le président de la Banque africaine de développement, Akinwumi Adesina, et le facilitateur des dialogues de haut niveau, l’ancien président du Mozambique Joaquim Chissano, ont également pris la parole, de même que des représentants du gouvernement, des partenaires au développement, du secteur privé, des anciens propriétaires d’exploitations agricoles et des organisations de la société civile.
« Malgré les défis associés au surendettement et exacerbés par l’albatros des sanctions économiques illégales, le Zimbabwe est en train de franchir des étapes clés pour faire avancer notre pays pour l’intérêt de notre peuple », a rassuré le président Mnangagwa.
Les quatre principaux piliers de mise en œuvre du programme de réforme du Zimbabwe sont la réforme de la gouvernance, la réforme du régime foncier, l’indemnisation des anciens exploitants agricoles et la résolution des accords bilatéraux de protection des investissements.
Selon M. Adesina, « le Zimbabwe ne peut pas gravir la colline de la reprise économique en portant un sac de dettes sur le dos. Il est temps de procéder à un apurement complet des arriérés et de résoudre le problème de la dette du Zimbabwe. Mais il ne s’agit pas d’une promenade de santé. Nous devons faire face à l’histoire, pour faire l’histoire ».
Il a ajouté que « les sanctions économiques enfoncent le Zimbabwe dans une dette insoutenable. La dette elle-même n’est pas aussi débilitante que les arriérés de paiement, qui empêchent le pays d’accéder à des financements concessionnels internationaux ou à d’autres sources de revenus ou de financement moins onéreuses pour rembourser ses obligations. »
En ce qui concerne les réformes foncières et les indemnisations, M. Adesina a déclaré que la banque travaille avec le gouvernement du Zimbabwe pour développer des instruments et des structures financières innovants qui peuvent être utilisés pour avancer la mobilisation de 3,5 milliards de dollars pour les indemnisations.
S'agissant des réformes électorales, le président Mnangagwa a assuré aux parties prenantes que le pays avait mis en place les mécanismes nécessaires pour garantir des élections pacifiques, libres, équitables et crédibles, prévues pour le mois d’août de cette année.
Il faut rappeler qu’en décembre 2022, le gouvernement zimbabwéen avait mis en place une plateforme de dialogue structuré avec l’ensemble des créanciers et des partenaires au développement, afin d’institutionnaliser un dialogue structuré sur les réformes économiques et de gouvernance pour soutenir le processus d’apurement des arriérés et de résolution de la dette.