Par E.N.D.
Plus de 60 artistes sont inscrits sur la listes sollicitée par le comité d’organisation. Après sélection 32 groupes des artistes Tchadiens ont accepté d’être sur le plateau afin de promouvoir l’identité culturelle tchadienne.
Les manifestations se sont déroulées sur deux sites retenus. Il s’agit de l’espace Fest Africa d’où les manifestants ont passé deux jours les 17 et 18 décembre et le cadre de Hôtel Santana le 19 avec une soirée culturelle.
La particularité de N’Djam Vi, 4ème édition 2010 c’est la présence de deux groupes de la sous-région représentés par des artistes Gabonais et Camerounais.
Selon le directeur, le festival de musique vise à promouvoir l’identité de la culture tchadienne à l’extérieur.
Et de poursuivre que le Tchad son pays ne doit pas rester bras croisés, attendre de l’extérieur une quelconque culture. Pour que le Tchad puisse avoir sa place dans la sous-région, les autorités compétentes de la culture sont tenues à relever les défis en mettant les moyens adéquats et nécessaires à la disposition des artistes, martèle le directeur de N’Djam Vi.
Le thème de cette année est « environnement sain, homme sain ». Pour Nguinambaye Ndoua Manassé, il faut un environnement sain pour qu’on puisse propager la musique et s’épanouir librement.
Il a enfin rassuré que toutes les dispositions ont été prises pour garantir la sécurité des manifestants.
L’événement a eu lieu lors d’une conférence de presse animée à Sahara Hôtel sis à Moursal le 14 décembre dernier par le directeur du festival N’DjamVi, M. Nguinambaye Ndoua Manassé.