Le président national de l'Union Démocratique du Cameroun (Udc) en a fait un grand écho au sein de ses partisans le 30 août dernier.
La patronne de l'Udc, tout au long de son périple du Grand Nord, et à Bertoua, s'est voulue pédagogique dans son discours. Devant des citoyens chauffés politiquement à blanc, la tâche n'est pas des moins ardues.
Après son exposé sur des thèmes qui lui sont chers, à l'exemple du rôle d'un parti politique, les droits et les devoirs du citoyens, la question des jeunes et des femmes dans le biotope politique camerounais, les missions d'un chef d'État, les implications du vote pour un citoyen, la candidature consensuelle, est arrivé le temps des échanges avec le public.
A écouter les questions qui fusent des hommes, des femmes et des enfants, on comprend que tous sont déterminés à en découdre avec le régime camerounais le 12 octobre prochain.
Devant les maux que les uns et les autres stigmatisent en chœur, à moins d'un mois et demi de l'élection présidentielle, on peut sans risque de se tromper déduire que le candidat du parti au pouvoir (le RDPC) aura fort à faire pour conserver les acquis dans les urnes. « 43 ans, ça suffit ! Non, merci ! On n'en veut plus », résume à la perfection cet état d'esprit où le pouvoir de Yaoundé qu'il le veuille ou pas, est accusé de tous les péchés impénitents.
L'heure est désormais aux forces du changement qui œuvrent pour une alternance au sommet de l'État. A côté de cette réalité, il y a eu à Bertoua (région de l’Est) l'installation de deux bureaux : le comité mixte du village Ndembo et le comité mixte départemental du Lom et Djerem.
Bien plus, les responsables sont désormais tenus par l'obligation de travailler avec Elecam pour avoir le nombre exact de bureaux de vote dans leur circonférence politique. Ces données vont permettre de lancer la formation des scrutateurs de l'Udc. Il est question par la suite de mutualiser les forces pour une surveillance optimale du vote. Dire que Tomaïno Ndam Njoya fait des émules au cours de cette tournée est un euphémisme.
En dépit de sa grande discrétion, parce que la campagne n'est pas légalement ouverte, les Camerounais rencontrés au cours du grand périple dans le Septentrion et à l'Est, à savoir Maroua, Yagoua, Garoua, Lagdo, Ngaoundéré, Meiganga, Bertoua et Abong-Mbang, sont déterminés à écrire une nouvelle page du Cameroun avec Mme Tomaïno Ndam Njoya, candidate de l’UDC. Le 12 octobre 2025, l’on saura alors si le Cameroun commencera un nouveau chapitre de son histoire.
La patronne de l'Udc, tout au long de son périple du Grand Nord, et à Bertoua, s'est voulue pédagogique dans son discours. Devant des citoyens chauffés politiquement à blanc, la tâche n'est pas des moins ardues.
Après son exposé sur des thèmes qui lui sont chers, à l'exemple du rôle d'un parti politique, les droits et les devoirs du citoyens, la question des jeunes et des femmes dans le biotope politique camerounais, les missions d'un chef d'État, les implications du vote pour un citoyen, la candidature consensuelle, est arrivé le temps des échanges avec le public.
A écouter les questions qui fusent des hommes, des femmes et des enfants, on comprend que tous sont déterminés à en découdre avec le régime camerounais le 12 octobre prochain.
Devant les maux que les uns et les autres stigmatisent en chœur, à moins d'un mois et demi de l'élection présidentielle, on peut sans risque de se tromper déduire que le candidat du parti au pouvoir (le RDPC) aura fort à faire pour conserver les acquis dans les urnes. « 43 ans, ça suffit ! Non, merci ! On n'en veut plus », résume à la perfection cet état d'esprit où le pouvoir de Yaoundé qu'il le veuille ou pas, est accusé de tous les péchés impénitents.
L'heure est désormais aux forces du changement qui œuvrent pour une alternance au sommet de l'État. A côté de cette réalité, il y a eu à Bertoua (région de l’Est) l'installation de deux bureaux : le comité mixte du village Ndembo et le comité mixte départemental du Lom et Djerem.
Bien plus, les responsables sont désormais tenus par l'obligation de travailler avec Elecam pour avoir le nombre exact de bureaux de vote dans leur circonférence politique. Ces données vont permettre de lancer la formation des scrutateurs de l'Udc. Il est question par la suite de mutualiser les forces pour une surveillance optimale du vote. Dire que Tomaïno Ndam Njoya fait des émules au cours de cette tournée est un euphémisme.
En dépit de sa grande discrétion, parce que la campagne n'est pas légalement ouverte, les Camerounais rencontrés au cours du grand périple dans le Septentrion et à l'Est, à savoir Maroua, Yagoua, Garoua, Lagdo, Ngaoundéré, Meiganga, Bertoua et Abong-Mbang, sont déterminés à écrire une nouvelle page du Cameroun avec Mme Tomaïno Ndam Njoya, candidate de l’UDC. Le 12 octobre 2025, l’on saura alors si le Cameroun commencera un nouveau chapitre de son histoire.