Cinq pays ont été élus par l'Assemblée générale pour servir comme membres non permanents du Conseil de sécurité en 2022 et 2023. © ONU/Evan Schneider
Selon le décompte final du vote à l’Assemblée générale, le Ghana a reçu 185 voix, le Gabon 183, les Émirats arabes unis 179, l'Albanie 175 et le Brésil 181 voix. La République démocratique du Congo (RDC) a recueilli trois voix tandis que le Pérou et l'Iran en ont chacun obtenu une.
Le Conseil de sécurité est un organe composé de 15 membres, dont cinq permanents et disposant d'un droit de veto : la Chine, les Etats-Unis, la France, le Royaume-Uni et la Russie.
Les cinq nouveaux élus rejoindront l'Inde, l'Irlande, le Kenya, le Mexique et la Norvège, les autres cinq membres non permanents du Conseil jusqu’à la fin de l’année 2022.
Les membres non-permanents du Conseil de sécurité libérant leurs sièges à la fin de cette année sont le Viet Nam, pour le groupe Asie-Pacifique; Saint-Vincent-et-les Grenadines, pour le groupe d'Amérique latine et des Caraïbes ; l'Estonie, pour le groupe Europe de l'Est ; et le Niger et la Tunisie pour le groupe africain.
Trois Etats en compétition pour les deux sièges du groupe africain
Les Etats qui ont présenté leurs candidatures pour un siège non permanent au Conseil se sont présentés pour la plupart sans opposition au sein de leurs groupes régionaux, à l'exception du Gabon et du Ghana, qui se voyaient également disputés l’un des deux sièges disponibles pour le groupe africain par la République démovratique du Congo (RDC)
Avant de postuler à un siège non permanent au Conseil, chaque pays doit obtenir les voix des deux tiers des États membres présents et votants à l'Assemblée générale, soit un minimum de 129 voix et si les 193 États membres de l'ONU sont présents et votants.
Même si les candidats ont été soutenus par leur groupe régional et se présentent sans opposition, un scrutin formel est requis.
Le Conseil de sécurité est un organe composé de 15 membres, dont cinq permanents et disposant d'un droit de veto : la Chine, les Etats-Unis, la France, le Royaume-Uni et la Russie.
Les cinq nouveaux élus rejoindront l'Inde, l'Irlande, le Kenya, le Mexique et la Norvège, les autres cinq membres non permanents du Conseil jusqu’à la fin de l’année 2022.
Les membres non-permanents du Conseil de sécurité libérant leurs sièges à la fin de cette année sont le Viet Nam, pour le groupe Asie-Pacifique; Saint-Vincent-et-les Grenadines, pour le groupe d'Amérique latine et des Caraïbes ; l'Estonie, pour le groupe Europe de l'Est ; et le Niger et la Tunisie pour le groupe africain.
Trois Etats en compétition pour les deux sièges du groupe africain
Les Etats qui ont présenté leurs candidatures pour un siège non permanent au Conseil se sont présentés pour la plupart sans opposition au sein de leurs groupes régionaux, à l'exception du Gabon et du Ghana, qui se voyaient également disputés l’un des deux sièges disponibles pour le groupe africain par la République démovratique du Congo (RDC)
Avant de postuler à un siège non permanent au Conseil, chaque pays doit obtenir les voix des deux tiers des États membres présents et votants à l'Assemblée générale, soit un minimum de 129 voix et si les 193 États membres de l'ONU sont présents et votants.
Même si les candidats ont été soutenus par leur groupe régional et se présentent sans opposition, un scrutin formel est requis.