Organisée sous le thème « Musiques et enjeux économiques en Afrique à l’ère du Numérique », la 12 ème édition du FESPAM s’articule autour de plusieurs axes notamment le symposium international, l’exposition d’instruments traditionnels, le Marché de la Musique Africaine (MUSAF), les concerts au Palais des congrès, à Kintélé au nord de Brazzaville et à Mayanga au sud de Brazzaville.
Cette édition qui succède à celle dite de la renaissance du FESPAM a été riche en couleurs et en sons à l’ouverture officielle des festivités. Le ton de la cérémonie a été donné par la présentation des multiples couleurs d’Afrique. Drapelets de chaque pays africain à la main, les forces armées congolaises ont défilé devant le podium, sous le rythme de la fanfare nationale.
Peu avant le spectacle inaugural coloré par la chorégraphie de Gervais Tomadiatounga mettant en scène plus de 200 artistes africains, de nombreux intervenants ont pris la parole pour circonscrire l’évènement. Pour le commissaire général du FESPAM , Hugues Gervais Ondaye, la responsabilité du FESPAM devrait être de mise dans la structuration du secteur musical africain. « La musique est plus que jamais un vecteur d’identité, mais aussi un outil d’influence et de développement. Grâce au numérique, nos rythmes inspirent le monde. » A-t-il souligné.
Soulignant pour sa part la pertinence du thème choisi, Audrey Azoulay, la Directrice de l’UNESCO, a déclaré qu’il s’agit d’une problématique centrale, tout en précisant que « C’est aussi un axe fort de notre action à travers le Fonds International pour la Diversité Culturelle qui soutient les industries créatives, notamment numériques en Afrique. »
Dans son discours de circonstance, la ministre congolaise de l’industrie culturelle, touristique, artistique et des loisirs, Lydie Pongault a rendu un hommage appuyé au chef de l’Etat congolais, Denis Sassou N’Guesso pour avoir maintenu en vie ce rendez-vous culturel panafricain malgré le contexte économique et financier difficile que traverse le Congo. « Il a tenu à ce que notre pays continue à porter haut la bannière du FESPAM… » A-t-elle soutenu avant d' insister sur de nombreuses activités gravitant autour de cet évènement culturel. « Autour de chaque évènement culturel bien pensé gravitent des dizaines d’activités : hôtellerie, restauration, artisanat, transport… » A déclaré Lydie Pongault qui n’a pas manqué de rappeler la place accordée à la jeunesse congolaise dans l’organisation de ce festival.
A noter que, la 12 ème édition du FESPAM, c’est une semaine d’activités culturelles et musicales pour les artistes et scientifiques congolais et étrangers venus de certains pays d’Afrique, d’Europe et d’Amérique du sud. Une douzaine de pays au total est attendu à cette édition, tels que le Sénégal, la Côte d’Ivoire, l’Italie, la Mauritanie, le Mali et le Venezuela. Sur la base d’appel à candidature réalisée à travers les circuits numériques, 1800 dossiers ont été enregistrés dont 1300 dossiers pour le Congo.
Cette édition qui succède à celle dite de la renaissance du FESPAM a été riche en couleurs et en sons à l’ouverture officielle des festivités. Le ton de la cérémonie a été donné par la présentation des multiples couleurs d’Afrique. Drapelets de chaque pays africain à la main, les forces armées congolaises ont défilé devant le podium, sous le rythme de la fanfare nationale.
Peu avant le spectacle inaugural coloré par la chorégraphie de Gervais Tomadiatounga mettant en scène plus de 200 artistes africains, de nombreux intervenants ont pris la parole pour circonscrire l’évènement. Pour le commissaire général du FESPAM , Hugues Gervais Ondaye, la responsabilité du FESPAM devrait être de mise dans la structuration du secteur musical africain. « La musique est plus que jamais un vecteur d’identité, mais aussi un outil d’influence et de développement. Grâce au numérique, nos rythmes inspirent le monde. » A-t-il souligné.
Soulignant pour sa part la pertinence du thème choisi, Audrey Azoulay, la Directrice de l’UNESCO, a déclaré qu’il s’agit d’une problématique centrale, tout en précisant que « C’est aussi un axe fort de notre action à travers le Fonds International pour la Diversité Culturelle qui soutient les industries créatives, notamment numériques en Afrique. »
Dans son discours de circonstance, la ministre congolaise de l’industrie culturelle, touristique, artistique et des loisirs, Lydie Pongault a rendu un hommage appuyé au chef de l’Etat congolais, Denis Sassou N’Guesso pour avoir maintenu en vie ce rendez-vous culturel panafricain malgré le contexte économique et financier difficile que traverse le Congo. « Il a tenu à ce que notre pays continue à porter haut la bannière du FESPAM… » A-t-elle soutenu avant d' insister sur de nombreuses activités gravitant autour de cet évènement culturel. « Autour de chaque évènement culturel bien pensé gravitent des dizaines d’activités : hôtellerie, restauration, artisanat, transport… » A déclaré Lydie Pongault qui n’a pas manqué de rappeler la place accordée à la jeunesse congolaise dans l’organisation de ce festival.
A noter que, la 12 ème édition du FESPAM, c’est une semaine d’activités culturelles et musicales pour les artistes et scientifiques congolais et étrangers venus de certains pays d’Afrique, d’Europe et d’Amérique du sud. Une douzaine de pays au total est attendu à cette édition, tels que le Sénégal, la Côte d’Ivoire, l’Italie, la Mauritanie, le Mali et le Venezuela. Sur la base d’appel à candidature réalisée à travers les circuits numériques, 1800 dossiers ont été enregistrés dont 1300 dossiers pour le Congo.