Selon le communiqué comorien, l'acte d'affamer, déplacer et assiéger une population ne relève pas d'une action de libération, mais plutôt d'une punition collective et de la poursuite du génocide en cours contre le peuple palestinien.
Dans ce contexte, l'Union des Comores a réaffirmé son soutien indéfectible au peuple palestinien. Elle exige un cessez-le-feu immédiat, la libération des otages et l'ouverture de corridors humanitaires. Enfin, elle a appelé la communauté internationale à agir pour mettre fin à l'escalade, arrêter le génocide et imposer le respect du droit international.