Selon Jonathan Shrier, représentant américain au Conseil économique et social, Washington « soutient fermement les droits inaliénables des femmes et des filles », mais rejette toute inclusion de concepts liés à une « idéologie de genre » qu’il juge contraires à la dignité et à la sécurité des femmes.
Les États-Unis critiquent également l’utilisation du terme « droits en matière de santé sexuelle et reproductive », estimant qu’il ne fait pas l’objet d’un consensus international et ne relève pas du mandat d’ONU Femmes.
Le gouvernement américain insiste sur une approche centrée sur la « vérité biologique » et la défense des familles, réaffirmant qu’« il n’existe aucun droit international à l’avortement ».