
Selon les faits présentés au tribunal, l’homme affirme que sa patronne lui avait demandé de l’aider à ramasser ses affaires en vue d’un déménagement. Il s’était exécuté avec son enfant, en présence de la sœur de sa patronne. À la fin de l’opération, cette dernière a constaté la disparition de son argent et a immédiatement accusé le cuisinier, seule personne extérieure présente, exigeant la restitution de la somme. L’accusé a nié toute implication.
Interpellé par la police et placé en détention, le cuisinier a maintenu son innocence. Plus tard, lors d’une visite au parloir, sa fille lui aurait confié que l’argent se trouvait en possession de son frère (le fils de l’accusé), qui aurait ensuite quitté le Tchad pour rejoindre le Cameroun avec sa mère.
Malgré ces révélations tardives, la partie civile a maintenu sa plainte. Le tribunal a jugé que l’accusé avait eu connaissance des faits et l’a condamné à un an de prison ferme pour complicité de vol, soulignant ses dénégations initiales.
Le dossier a été transmis pour la procédure de plaidoyer. La défense pourrait envisager un appel ou demander une révision de la peine.
Interpellé par la police et placé en détention, le cuisinier a maintenu son innocence. Plus tard, lors d’une visite au parloir, sa fille lui aurait confié que l’argent se trouvait en possession de son frère (le fils de l’accusé), qui aurait ensuite quitté le Tchad pour rejoindre le Cameroun avec sa mère.
Malgré ces révélations tardives, la partie civile a maintenu sa plainte. Le tribunal a jugé que l’accusé avait eu connaissance des faits et l’a condamné à un an de prison ferme pour complicité de vol, soulignant ses dénégations initiales.
Le dossier a été transmis pour la procédure de plaidoyer. La défense pourrait envisager un appel ou demander une révision de la peine.