
Le dernier ouvrage de Léger Ntiga est volumineux de 230 pages et annonce la couleur dès la couverture, où l’on voit sur fond noir, des photos de cinq des dirigeants du monde d’aujourd’hui et de l’époque.
Regardant tous chacun dans sa direction, ils ont pour noms Donald Trump, le président des Etats-Unis d’Amérique ; Xi Jin Ping, président de la Chine ; Emmanuel Macron, président de France ; Andry Nirina Rajoelina, président de la République de Madagascar et Vladimir Poutine, président de Russie.
Au centre de tout ce beau monde, le menaçant virus du Covid-19. Il n’échappe donc pas à l’auteur que la crise sanitaire de 2019 et 2020, était aussi et surtout géopolitique, sinon géostratégique. D’ailleurs, il cite à ce propos l’ouvrage du géo-politologue français Pascal Boniface dans « Géopolitique du Coronavirus ».
Une entrée dans l’ouvrage permet de constater qu’il se subdivise en 13 tableaux. Des entités à la fois autonomes et coordonnées par le même fil conducteur de « on ne nous a pas tout dit » du Pr Didier Raoult. Ainsi, nous avons Wuhan en Chine, La dissimulation depuis le berceau ; De l’épidémie à la pandémie, Des doutes aux certitudes négatives ; La mort frappe, Des célébrités dans la confusion ; Traitements et vaccins, Dans la discorde et la division ; Le pire pour l’Afrique, Toujours et encore des préjugés ; The Lancet, Un incubateur de la manipulation ; La chloroquine, La molécule de tous les malentendus ; Communication, Les messages brouillés de l’Oms ; Crise économique, Une bombe au milieu du chao ; Protection, Le masque de toutes les désillusions ; Etats-Unis, Les dieux sont nus ; Scandales, Le temps des affaires et l’ère du soupçon ; Géopolitique, Une arme de destruction massive.
Dessous des Grands
A ces différents tableaux, il faut ajouter une conclusion et l’avant-propos que signe l’auteur, l’introduction produite par la directrice de la maison d’édition, Marie Bertille Mawem. Et surtout, la préface de François Bingono Bingono.
Achevé le 10 février 2021, et intitulé « Quand les dessous des Grands se dévoilent aux Petits », le texte de cet anthropologue et homme de radio à la retraite, célèbre les produits de la nature (écorces, racines, feuilles…), qui sont sérums et vaccins.
« L’excellente historiographie de la pandémie à Covid-19 du reporter-auteur Léger Ntiga s’inscrit dans le sillage : la petitesse des maîtres du monde dont on en découvre de sinistres projets. Le titre de Ntiga à valeur de métonymie croissante timide est le suivant : Des petits mensonges aux demi-vérités. Il s’agit d’une démarche digne de la maïeutique, et à travers laquelle, sur la base des faits et des dires par les auteurs de leurs propos, tout lecteur, par herméneutique, c’est-à-dire par décryptage personnel, aboutit à une ou des conclusions des plus absurdes : le sempiternel combat manichéen entre le Bien et le Mal ; les forts et les faibles ; les riches et les pauvres ; les athées et les croyants », écrit François Bingono Bingono.
Le livre de Léger Ntiga met donc bout à bout des faits, chiffres, réalités, actes, jeux, enjeux…, et anti-jeux autour d’une tempête qui a soufflé sur la planète, provoquant des millions de morts et de nombreux autres désastres. Dans un désenchantement et des espérances contrastés, les politiques et les scientifiques se sont joués de l’humaine raison.
L’ouvrage est surtout la preuve que l’Afrique sait et peut se mettre debout, notamment lorsqu’elle s’estime menacée. C’est ainsi qu’il faut lire tous les traitements qui ont fleuri de Madagascar au Cap en passant par Cotonou, Mogadiscio, Nouakchott… Il démonte enfin tous les mythes développés tout au long de cette crise, où l’on a fait croire que l’Afrique dotée du système de santé le plus faible au monde, allait être dévastée. Au bout du compte, Léger Ntiga écrit un livre de journaliste avec une forte valeur documentaire.
Regardant tous chacun dans sa direction, ils ont pour noms Donald Trump, le président des Etats-Unis d’Amérique ; Xi Jin Ping, président de la Chine ; Emmanuel Macron, président de France ; Andry Nirina Rajoelina, président de la République de Madagascar et Vladimir Poutine, président de Russie.
Au centre de tout ce beau monde, le menaçant virus du Covid-19. Il n’échappe donc pas à l’auteur que la crise sanitaire de 2019 et 2020, était aussi et surtout géopolitique, sinon géostratégique. D’ailleurs, il cite à ce propos l’ouvrage du géo-politologue français Pascal Boniface dans « Géopolitique du Coronavirus ».
Une entrée dans l’ouvrage permet de constater qu’il se subdivise en 13 tableaux. Des entités à la fois autonomes et coordonnées par le même fil conducteur de « on ne nous a pas tout dit » du Pr Didier Raoult. Ainsi, nous avons Wuhan en Chine, La dissimulation depuis le berceau ; De l’épidémie à la pandémie, Des doutes aux certitudes négatives ; La mort frappe, Des célébrités dans la confusion ; Traitements et vaccins, Dans la discorde et la division ; Le pire pour l’Afrique, Toujours et encore des préjugés ; The Lancet, Un incubateur de la manipulation ; La chloroquine, La molécule de tous les malentendus ; Communication, Les messages brouillés de l’Oms ; Crise économique, Une bombe au milieu du chao ; Protection, Le masque de toutes les désillusions ; Etats-Unis, Les dieux sont nus ; Scandales, Le temps des affaires et l’ère du soupçon ; Géopolitique, Une arme de destruction massive.
Dessous des Grands
A ces différents tableaux, il faut ajouter une conclusion et l’avant-propos que signe l’auteur, l’introduction produite par la directrice de la maison d’édition, Marie Bertille Mawem. Et surtout, la préface de François Bingono Bingono.
Achevé le 10 février 2021, et intitulé « Quand les dessous des Grands se dévoilent aux Petits », le texte de cet anthropologue et homme de radio à la retraite, célèbre les produits de la nature (écorces, racines, feuilles…), qui sont sérums et vaccins.
« L’excellente historiographie de la pandémie à Covid-19 du reporter-auteur Léger Ntiga s’inscrit dans le sillage : la petitesse des maîtres du monde dont on en découvre de sinistres projets. Le titre de Ntiga à valeur de métonymie croissante timide est le suivant : Des petits mensonges aux demi-vérités. Il s’agit d’une démarche digne de la maïeutique, et à travers laquelle, sur la base des faits et des dires par les auteurs de leurs propos, tout lecteur, par herméneutique, c’est-à-dire par décryptage personnel, aboutit à une ou des conclusions des plus absurdes : le sempiternel combat manichéen entre le Bien et le Mal ; les forts et les faibles ; les riches et les pauvres ; les athées et les croyants », écrit François Bingono Bingono.
Le livre de Léger Ntiga met donc bout à bout des faits, chiffres, réalités, actes, jeux, enjeux…, et anti-jeux autour d’une tempête qui a soufflé sur la planète, provoquant des millions de morts et de nombreux autres désastres. Dans un désenchantement et des espérances contrastés, les politiques et les scientifiques se sont joués de l’humaine raison.
L’ouvrage est surtout la preuve que l’Afrique sait et peut se mettre debout, notamment lorsqu’elle s’estime menacée. C’est ainsi qu’il faut lire tous les traitements qui ont fleuri de Madagascar au Cap en passant par Cotonou, Mogadiscio, Nouakchott… Il démonte enfin tous les mythes développés tout au long de cette crise, où l’on a fait croire que l’Afrique dotée du système de santé le plus faible au monde, allait être dévastée. Au bout du compte, Léger Ntiga écrit un livre de journaliste avec une forte valeur documentaire.