Situé dans la localité de Ronier, dans le département du Loug Chari (sous-préfecture de Mogo, préfecture de Bousso), le centre a été construit en 2009 pour répondre aux normes environnementales tchadiennes. Il constitue aujourd’hui un maillon essentiel dans la gestion des déchets issus de l’exploitation pétrolière.
Une mission multiple pour une gestion complète des déchets
Le centre assure plusieurs fonctions : recyclage, incinération, tri et compactage des déchets en provenance de l’ensemble des sites de la CNPCIC. Il traite notamment les terres contaminées, mais aussi des résidus non dangereux tels que les canettes et cartons. Une partie de ces matériaux recyclés est offerte aux villageois, permettant par exemple la fabrication d’ustensiles ménagers comme des marmites.
Le site dispose de plusieurs unités de traitement complémentaires : un système de récupération des huiles usées et des eaux industrielles, un Biofarm pour la biodégradation des terres faiblement contaminées, des installations spécifiques pour les déchets solides dangereux et non dangereux, et un incinérateur destiné au traitement des sols huileux.
Un bilan éloquent et une démarche durable
En dix ans d’activité, le centre a : traité près de 8 000 tonnes de boues huileuses, récupéré 4 800 m³ d’huiles usagées, pris en charge plus de 1 000 tonnes de déchets dangereux et 10 000 tonnes de déchets non dangereux.
Implanté sur une superficie de plus de 70 000 m², le site incarne l’engagement de la CNPCIC en faveur d’une exploitation pétrolière responsable et respectueuse de l’environnement.
Une mission multiple pour une gestion complète des déchets
Le centre assure plusieurs fonctions : recyclage, incinération, tri et compactage des déchets en provenance de l’ensemble des sites de la CNPCIC. Il traite notamment les terres contaminées, mais aussi des résidus non dangereux tels que les canettes et cartons. Une partie de ces matériaux recyclés est offerte aux villageois, permettant par exemple la fabrication d’ustensiles ménagers comme des marmites.
Le site dispose de plusieurs unités de traitement complémentaires : un système de récupération des huiles usées et des eaux industrielles, un Biofarm pour la biodégradation des terres faiblement contaminées, des installations spécifiques pour les déchets solides dangereux et non dangereux, et un incinérateur destiné au traitement des sols huileux.
Un bilan éloquent et une démarche durable
En dix ans d’activité, le centre a : traité près de 8 000 tonnes de boues huileuses, récupéré 4 800 m³ d’huiles usagées, pris en charge plus de 1 000 tonnes de déchets dangereux et 10 000 tonnes de déchets non dangereux.
Implanté sur une superficie de plus de 70 000 m², le site incarne l’engagement de la CNPCIC en faveur d’une exploitation pétrolière responsable et respectueuse de l’environnement.
Un modèle de gestion exemplaire
Selon Djedouboum Abakar, responsable environnemental de la CNPCIC à Ronier : « La CNPCIC respecte scrupuleusement les lois et normes environnementales. Nous ne rejetons aucun déchet dans la nature. Tous sont traités, compactés et éliminés conformément aux standards tchadiens et internationaux. »
Il précise que certains déchets sont recyclés et redistribués aux communautés locales, créant ainsi un lien concret entre industrie et développement social.
Sur le plan écologique, les observations confirment que les plantes, les herbes et les arbres croissent normalement autour du site. Aucune incidence négative sur la flore n’a été constatée.
Ce centre illustre qu’il est possible de concilier développement industriel et protection de l’environnement, tout en ayant un impact positif sur les populations locales. Par sa gestion rigoureuse et ses actions communautaires, la CNPCIC démontre que la responsabilité environnementale peut aller de pair avec la performance économique.
Selon Djedouboum Abakar, responsable environnemental de la CNPCIC à Ronier : « La CNPCIC respecte scrupuleusement les lois et normes environnementales. Nous ne rejetons aucun déchet dans la nature. Tous sont traités, compactés et éliminés conformément aux standards tchadiens et internationaux. »
Il précise que certains déchets sont recyclés et redistribués aux communautés locales, créant ainsi un lien concret entre industrie et développement social.
Sur le plan écologique, les observations confirment que les plantes, les herbes et les arbres croissent normalement autour du site. Aucune incidence négative sur la flore n’a été constatée.
Ce centre illustre qu’il est possible de concilier développement industriel et protection de l’environnement, tout en ayant un impact positif sur les populations locales. Par sa gestion rigoureuse et ses actions communautaires, la CNPCIC démontre que la responsabilité environnementale peut aller de pair avec la performance économique.
Menu
Ronier : la CNPCIC fait de la gestion des déchets un modèle de protection environnementale au Tchad









