Les gouvernements de l’Égypte, de l’Arabie saoudite, de la Suisse, des Émirats arabes unis, des États-Unis, ainsi que l’Union africaine et les Nations unies, réunis au sein de la coalition ALPS, ont publié une déclaration conjointe le 20 août 2025, dénonçant la détérioration continue de la situation humanitaire au Soudan.
Une crise aggravée par la famine et les entraves à l’aide
Selon la déclaration, le nombre de personnes souffrant de malnutrition sévère et de famine ne cesse d’augmenter, tandis que les entraves bureaucratiques et logistiques compliquent ou retardent l’acheminement de l’aide dans les zones les plus touchées. « Les civils continuent de payer le plus lourd tribut à cette guerre », souligne le communiqué, appelant les parties au conflit à respecter leurs obligations au titre du droit international humanitaire et à mettre en œuvre les engagements pris dans la Déclaration de Jeddah de mai 2023 visant à protéger les populations.
Les principales recommandations de l’ALPS Group
La coalition demande aux belligérants de : lever les obstacles administratifs empêchant les activités humanitaires ; maintenir ouvertes les routes d’approvisionnement clés pour les convois et le personnel humanitaires, notamment en prolongeant l’utilisation du point de passage d’Adré et en facilitant l’accès au Darfour et aux régions du Kordofan ; garantir la sécurité des travailleurs humanitaires et la neutralité de leur action, y compris dans les zones contrôlées par d’autres factions ; assurer le passage sûr des civils vers l’aide et les services essentiels ; permettre une présence durable de l’ONU dans les zones les plus affectées ; restaurer les télécommunications dans tout le pays ; protéger les infrastructures civiles critiques, notamment l’énergie, l’eau et la santé.
Un appel à la désescalade
Dans certaines régions comme le Darfour-Nord et les Kordofan, l’ALPS Group insiste sur la nécessité de mesures de désescalade immédiates et de pauses humanitaires pour permettre l’acheminement de l’aide vitale et faciliter le déplacement des civils hors des zones de danger. Enfin, la coalition a réaffirmé avec force que le droit international humanitaire doit être pleinement respecté, rappelant l’obligation de protéger les civils et le personnel humanitaire, ainsi que de garantir un accès rapide et sans entrave à tous ceux qui en ont besoin.
Une crise aggravée par la famine et les entraves à l’aide
Selon la déclaration, le nombre de personnes souffrant de malnutrition sévère et de famine ne cesse d’augmenter, tandis que les entraves bureaucratiques et logistiques compliquent ou retardent l’acheminement de l’aide dans les zones les plus touchées. « Les civils continuent de payer le plus lourd tribut à cette guerre », souligne le communiqué, appelant les parties au conflit à respecter leurs obligations au titre du droit international humanitaire et à mettre en œuvre les engagements pris dans la Déclaration de Jeddah de mai 2023 visant à protéger les populations.
Les principales recommandations de l’ALPS Group
La coalition demande aux belligérants de : lever les obstacles administratifs empêchant les activités humanitaires ; maintenir ouvertes les routes d’approvisionnement clés pour les convois et le personnel humanitaires, notamment en prolongeant l’utilisation du point de passage d’Adré et en facilitant l’accès au Darfour et aux régions du Kordofan ; garantir la sécurité des travailleurs humanitaires et la neutralité de leur action, y compris dans les zones contrôlées par d’autres factions ; assurer le passage sûr des civils vers l’aide et les services essentiels ; permettre une présence durable de l’ONU dans les zones les plus affectées ; restaurer les télécommunications dans tout le pays ; protéger les infrastructures civiles critiques, notamment l’énergie, l’eau et la santé.
Un appel à la désescalade
Dans certaines régions comme le Darfour-Nord et les Kordofan, l’ALPS Group insiste sur la nécessité de mesures de désescalade immédiates et de pauses humanitaires pour permettre l’acheminement de l’aide vitale et faciliter le déplacement des civils hors des zones de danger. Enfin, la coalition a réaffirmé avec force que le droit international humanitaire doit être pleinement respecté, rappelant l’obligation de protéger les civils et le personnel humanitaire, ainsi que de garantir un accès rapide et sans entrave à tous ceux qui en ont besoin.