Ces diplômés, formés dans les différentes universités du Tchad et de l’étranger, affirment qu’après plusieurs années de patience et de silence, ils ne peuvent plus accepter leur mise à l’écart.
« Chaque année, le gouvernement intègre des jeunes à la fonction publique, mais nous, spécialistes des disciplines scientifiques, sommes oubliés », alertent-ils.
Selon eux, le faible taux de réussite au baccalauréat scientifique de 2025 est directement lié au manque de ressources humaines qualifiées.
« Concernant les résultats du baccalauréat scientifique, tout le monde a pu constater que c’est catastrophique. Sans mathématiciens, sans physiciens, sans chimistes, il est difficile, voire impossible, d’obtenir de bons résultats », ont-ils souligné.
Plus de 1 200 diplômés sans emploi, abandonnés depuis 2014, réclament aujourd’hui que le gouvernement prenne rapidement des mesures pour les intégrer afin de servir leur pays.
Ils lancent un avertissement : « Si rien n’est fait cette année, nous allons interrompre les activités de nos camarades qui font des vacations partout au Tchad. »
Les membres du collectif dénoncent également le fait que chaque année, des diplômés d’autres domaines sont intégrés pour enseigner les disciplines scientifiques sans avoir les qualifications requises, contribuant ainsi à la baisse du niveau scolaire et au faible taux de réussite.
« Nous sommes formés pour l’enseignement, mais nous sommes laissés de côté, et cela est inadmissible », concluent-ils.
Mahamat Oumar Litassou, chargé de communication du collectif, s’est exprimé au nom de ses camarades.
« Chaque année, le gouvernement intègre des jeunes à la fonction publique, mais nous, spécialistes des disciplines scientifiques, sommes oubliés », alertent-ils.
Selon eux, le faible taux de réussite au baccalauréat scientifique de 2025 est directement lié au manque de ressources humaines qualifiées.
« Concernant les résultats du baccalauréat scientifique, tout le monde a pu constater que c’est catastrophique. Sans mathématiciens, sans physiciens, sans chimistes, il est difficile, voire impossible, d’obtenir de bons résultats », ont-ils souligné.
Plus de 1 200 diplômés sans emploi, abandonnés depuis 2014, réclament aujourd’hui que le gouvernement prenne rapidement des mesures pour les intégrer afin de servir leur pays.
Ils lancent un avertissement : « Si rien n’est fait cette année, nous allons interrompre les activités de nos camarades qui font des vacations partout au Tchad. »
Les membres du collectif dénoncent également le fait que chaque année, des diplômés d’autres domaines sont intégrés pour enseigner les disciplines scientifiques sans avoir les qualifications requises, contribuant ainsi à la baisse du niveau scolaire et au faible taux de réussite.
« Nous sommes formés pour l’enseignement, mais nous sommes laissés de côté, et cela est inadmissible », concluent-ils.
Mahamat Oumar Litassou, chargé de communication du collectif, s’est exprimé au nom de ses camarades.