
Un procès s’est tenu au Tribunal de grande instance de N’Djamena, concernant un détenu de la maison d’arrêt de la capitale.
Le jeune homme était poursuivi pour avoir proféré des menaces de mort à l’encontre de son père, de plusieurs membres de sa famille et de ses voisins, avant de blesser grièvement son cousin. Selon l’enquête, l’affaire trouve son origine dans des tensions familiales. Le père de l’accusé le considérait comme un oisif, refusant de travailler et provoquant sans cesse des conflits.
Afin de le responsabiliser, il l’avait envoyé dans son village natal pour y exercer une activité de vente de crédits téléphoniques. Mais le jeune homme avait rapidement abandonné cette occupation et était revenu à N’Djamena, où il avait repris ses menaces à l’égard de ses proches.
Face à cette situation devenue intenable, la famille avait porté plainte, espérant qu’une sanction judiciaire l’amènerait à changer de comportement. À l’issue de l’audience, le tribunal l’a condamné à 18 mois de prison avec sursis.
Le jeune homme était poursuivi pour avoir proféré des menaces de mort à l’encontre de son père, de plusieurs membres de sa famille et de ses voisins, avant de blesser grièvement son cousin. Selon l’enquête, l’affaire trouve son origine dans des tensions familiales. Le père de l’accusé le considérait comme un oisif, refusant de travailler et provoquant sans cesse des conflits.
Afin de le responsabiliser, il l’avait envoyé dans son village natal pour y exercer une activité de vente de crédits téléphoniques. Mais le jeune homme avait rapidement abandonné cette occupation et était revenu à N’Djamena, où il avait repris ses menaces à l’égard de ses proches.
Face à cette situation devenue intenable, la famille avait porté plainte, espérant qu’une sanction judiciaire l’amènerait à changer de comportement. À l’issue de l’audience, le tribunal l’a condamné à 18 mois de prison avec sursis.