Depuis plusieurs jours, des fortes pluies s’abattent sur la province du Moyen-Chari, causant d’énormes dégâts.
La sous-préfecture de Magoumbou, dans le département de Bragoto, n’a pas échappé à cette catastrophe. Plus précisément, dans le village de Moundara, un carré de 27 ménages a été totalement ravagé par les inondations.
Alerté par le chef du village, le sous-préfet de Magoumbou, Oumar Bechir Ali Mounoufi, s’est rendu d’urgence sur les lieux le dimanche 21 septembre 2025. Sa visite a eu pour but de constater de près l’ampleur des dégâts. Sur le terrain, le constat est alarmant : les 27 ménages concernés vivent désormais les pieds dans l’eau.
Plusieurs cases se sont écroulées, 38 champs, toutes cultures confondues, sont complètement inondés. Selon le sous-préfet, la population ne sait plus où aller avec ces inondations. Les champs qui constituaient leur seul espoir de récolte sont perdus. ''En plus des pertes matérielles, les habitants sont encerclés par des eaux stagnantes, ce qui les expose à de graves risques sanitaires, notamment les maladies liées à l’eau'', a-t-il précisé.
Face à cette situation préoccupante, le sous-préfet de Magoumbou a lancé un appel pressant aux autorités locales, aux ONG et aux personnes de bonne volonté. Il demande une assistance rapide afin de venir en aide aux sinistrés qui vivent désormais dans des conditions très difficiles.
La sous-préfecture de Magoumbou, dans le département de Bragoto, n’a pas échappé à cette catastrophe. Plus précisément, dans le village de Moundara, un carré de 27 ménages a été totalement ravagé par les inondations.
Alerté par le chef du village, le sous-préfet de Magoumbou, Oumar Bechir Ali Mounoufi, s’est rendu d’urgence sur les lieux le dimanche 21 septembre 2025. Sa visite a eu pour but de constater de près l’ampleur des dégâts. Sur le terrain, le constat est alarmant : les 27 ménages concernés vivent désormais les pieds dans l’eau.
Plusieurs cases se sont écroulées, 38 champs, toutes cultures confondues, sont complètement inondés. Selon le sous-préfet, la population ne sait plus où aller avec ces inondations. Les champs qui constituaient leur seul espoir de récolte sont perdus. ''En plus des pertes matérielles, les habitants sont encerclés par des eaux stagnantes, ce qui les expose à de graves risques sanitaires, notamment les maladies liées à l’eau'', a-t-il précisé.
Face à cette situation préoccupante, le sous-préfet de Magoumbou a lancé un appel pressant aux autorités locales, aux ONG et aux personnes de bonne volonté. Il demande une assistance rapide afin de venir en aide aux sinistrés qui vivent désormais dans des conditions très difficiles.