L’accusé a reconnu que ses enfants évacuent les eaux usées des toilettes, mais a contesté qu’elles stagnent devant la maison de la plaignante. Interrogée par le juge sur la gestion de ses propres eaux usées, la plaignante a expliqué qu’elle a recours aux services de la voirie. Le magistrat a alors relevé, avec ironie, que cette solution dépendait des moyens financiers de chacun.
Le tribunal a ordonné à l’accusé de s’assurer que ses enfants évitent de laisser l'eau stagner. Il a également encouragé les deux parties à privilégier le dialogue. Le verdict a été renvoyé à une date ultérieure.
Menu
Tchad : Dispute de voisinage pour des eaux usées à N’Djamena : l’affaire devant le tribunal








