L'effervescence des quartiers animés cache un spectacle de plus en plus inquiétant à N’Djamena : la rue transformée en terrain de jeu par certains usagers d'engins motorisés. Le besoin de prouver qu'ils ont des engins, semble prendre le pas sur la prudence et le respect du code de la route, offrant un spectacle désagréable et surtout extrêmement dangereux pour tout usager.
L'excès de vitesse, un affichage de puissance risqué
Dans la capitale tchadienne, il est observé quotidiennement des comportements à risques, impliquant motos et véhicules. Des courses improvisées, des parades bruyantes et périlleuses, et des dépassements audacieux ponctuent la circulation. Ces exhibitions, souvent interprétées comme une manière d'afficher sa puissance, ou son statut social, à travers la maîtrise ou la témérité de son engin, sont une source constante d'inquiétude pour les autres usagers et les piétons.
Pourtant, la vitesse en ville est limitée à 60 km/h. Le mépris de la limitation de vitesse en zone urbaine est flagrant. Malgré les règles établies pour garantir la sécurité de tous, certains conducteurs ne respectent pas cette règle de conduite, transformant les artères de la ville en zones à haut risque d'accident.
Ces comportements irresponsables ne sont pas sans conséquence. Ils sont, d'une part, une source majeure d'accidents de la circulation. L'excès de vitesse réduit drastiquement le temps de réaction et augmente la gravité des chocs. Motos et véhicules conduits de manière imprudente, sont ainsi régulièrement impliqués dans des drames routiers qui endeuillent des familles.
La course à l'affichage et à la rivalité au volant, ou au guidon, met en danger non seulement les auteurs de ces gestes, mais aussi des innocents : piétons, passagers, et autres conducteurs respectueux des règles. Face à cette situation, il est crucial de rappeler que la route est un espace de partage, et non un circuit de compétition.
La possession d'un engin motorisé implique une responsabilité civique et légale de se conformer au code de la route. Les autorités sont interpellées pour renforcer les contrôles de vitesse et la sensibilisation aux dangers de ces conduites. Il est temps que les N'Djamenois prennent conscience que la véritable preuve de maturité, et de respect, ne réside pas dans la vitesse ou le bruit, mais dans la prudence et le respect de la vie d'autrui.
La capitale mérite de retrouver une circulation plus sûre et sereine.
L'excès de vitesse, un affichage de puissance risqué
Dans la capitale tchadienne, il est observé quotidiennement des comportements à risques, impliquant motos et véhicules. Des courses improvisées, des parades bruyantes et périlleuses, et des dépassements audacieux ponctuent la circulation. Ces exhibitions, souvent interprétées comme une manière d'afficher sa puissance, ou son statut social, à travers la maîtrise ou la témérité de son engin, sont une source constante d'inquiétude pour les autres usagers et les piétons.
Pourtant, la vitesse en ville est limitée à 60 km/h. Le mépris de la limitation de vitesse en zone urbaine est flagrant. Malgré les règles établies pour garantir la sécurité de tous, certains conducteurs ne respectent pas cette règle de conduite, transformant les artères de la ville en zones à haut risque d'accident.
Ces comportements irresponsables ne sont pas sans conséquence. Ils sont, d'une part, une source majeure d'accidents de la circulation. L'excès de vitesse réduit drastiquement le temps de réaction et augmente la gravité des chocs. Motos et véhicules conduits de manière imprudente, sont ainsi régulièrement impliqués dans des drames routiers qui endeuillent des familles.
La course à l'affichage et à la rivalité au volant, ou au guidon, met en danger non seulement les auteurs de ces gestes, mais aussi des innocents : piétons, passagers, et autres conducteurs respectueux des règles. Face à cette situation, il est crucial de rappeler que la route est un espace de partage, et non un circuit de compétition.
La possession d'un engin motorisé implique une responsabilité civique et légale de se conformer au code de la route. Les autorités sont interpellées pour renforcer les contrôles de vitesse et la sensibilisation aux dangers de ces conduites. Il est temps que les N'Djamenois prennent conscience que la véritable preuve de maturité, et de respect, ne réside pas dans la vitesse ou le bruit, mais dans la prudence et le respect de la vie d'autrui.
La capitale mérite de retrouver une circulation plus sûre et sereine.
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Tchad : à N'Djamena, des parades sur le goudron, une course risquée pour les usagers








