Dans une déclaration officielle, Aïssatou Oumarou Ibrahim souligne l’urgence d’agir pour garantir l’équité et la reconnaissance des droits fondamentaux des peuples autochtones.
Au Tchad, les peuples autochtones, tels que les Mbororo, représentent un patrimoine culturel et environnemental unique. Leur mode de vie, fondé sur l’harmonie avec la nature et la transmission orale des savoirs, constitue un pilier de la diversité nationale. Pourtant, ces communautés continuent de faire face à de nombreux défis : accès limité aux services de base, faible représentation dans les instances décisionnelles et menaces sur leurs terres ancestrales.
« Le Tchad est un creuset de diversité, mais cette richesse ne sera pleinement réalisée que par la justice et l’inclusion », rappelle-t-elle.
Du lac Tchad aux montagnes de l’Ennedi, ces populations contribuent à l’identité nationale, mais leur voix reste trop souvent inaudible.
Le thème retenu pour 2025 met en avant l’importance d’un dialogue sincère et d’un respect mutuel entre toutes les composantes de la société. Pour Aïssatou, la protection des terres ancestrales et des modes de vie traditionnels, menacés par l’expansion urbaine et le changement climatique, est essentielle.
Elle insiste également sur la nécessité de lutter contre les discriminations systémiques qui alimentent l’exclusion, et de garantir la participation active des peuples autochtones dans les décisions politiques et économiques qui les concernent.
« La paix véritable passe par la reconnaissance des droits de tous », affirme-t-elle, soulignant que la marginalisation fragilise la cohésion sociale.
En cette journée symbolique, la coordinatrice appelle les autorités et la société civile à transformer les engagements en actions concrètes : développement de programmes éducatifs bilingues, accès équitable aux soins de santé, et mise en place de mécanismes de consultation inclusive.
Au Tchad, les peuples autochtones, tels que les Mbororo, représentent un patrimoine culturel et environnemental unique. Leur mode de vie, fondé sur l’harmonie avec la nature et la transmission orale des savoirs, constitue un pilier de la diversité nationale. Pourtant, ces communautés continuent de faire face à de nombreux défis : accès limité aux services de base, faible représentation dans les instances décisionnelles et menaces sur leurs terres ancestrales.
« Le Tchad est un creuset de diversité, mais cette richesse ne sera pleinement réalisée que par la justice et l’inclusion », rappelle-t-elle.
Du lac Tchad aux montagnes de l’Ennedi, ces populations contribuent à l’identité nationale, mais leur voix reste trop souvent inaudible.
Le thème retenu pour 2025 met en avant l’importance d’un dialogue sincère et d’un respect mutuel entre toutes les composantes de la société. Pour Aïssatou, la protection des terres ancestrales et des modes de vie traditionnels, menacés par l’expansion urbaine et le changement climatique, est essentielle.
Elle insiste également sur la nécessité de lutter contre les discriminations systémiques qui alimentent l’exclusion, et de garantir la participation active des peuples autochtones dans les décisions politiques et économiques qui les concernent.
« La paix véritable passe par la reconnaissance des droits de tous », affirme-t-elle, soulignant que la marginalisation fragilise la cohésion sociale.
En cette journée symbolique, la coordinatrice appelle les autorités et la société civile à transformer les engagements en actions concrètes : développement de programmes éducatifs bilingues, accès équitable aux soins de santé, et mise en place de mécanismes de consultation inclusive.