L’événement, tenu dans les locaux de l’ENSTP, a réuni des experts, des représentants institutionnels, des employeurs ainsi que de jeunes ingénieurs autour du thème : « Défis et solutions face au chômage des jeunes ingénieurs de l’ENSTP ».
Le premier conférencier, Ing. Brahim Guihimi Dadi, Directeur général de l’Autorité de l’aviation civile (ADAC), a mis l’accent sur la nécessité de réduire le taux de chômage des jeunes ingénieurs formés à l’ENSTP. Il a plaidé pour une meilleure professionnalisation du système éducatif et une formation adaptée aux besoins réels du marché. Il a également encouragé les jeunes à entreprendre et à élargir leurs horizons au-delà de la fonction publique. Selon lui, les ingénieurs en génie civil disposent de compétences transversales qui peuvent être exploitées dans de nombreux secteurs, y compris la banque. « Les jeunes doivent bien connaître leur domaine et s’imposer par leur talent », a-t-il insisté.
De son côté, Ing. Mpy Nangkeré, fondateur de M2E École polytechnique, a salué la qualité de la formation dispensée à l’ENSTP, reposant sur la rigueur et la transversalité des compétences. Il a cependant exhorté les chefs d’entreprises à soutenir les jeunes ingénieurs en leur offrant des opportunités d’expérience pratique. Il a également suggéré aux entreprises de se regrouper et de travailler en synergie avec l’État afin de renforcer leurs capacités et d’intégrer davantage de jeunes dans leurs effectifs. « Les ingénieurs doivent miser sur la compétence et aller toujours plus loin dans leur domaine », a-t-il encouragé.
Le débat qui a suivi a permis aux jeunes ingénieurs de poser directement leurs préoccupations. Les échanges ont donné lieu à une analyse des causes du chômage dans le secteur, ainsi qu’à des propositions concrètes de solutions pour faciliter l’insertion professionnelle des diplômés.
Le premier conférencier, Ing. Brahim Guihimi Dadi, Directeur général de l’Autorité de l’aviation civile (ADAC), a mis l’accent sur la nécessité de réduire le taux de chômage des jeunes ingénieurs formés à l’ENSTP. Il a plaidé pour une meilleure professionnalisation du système éducatif et une formation adaptée aux besoins réels du marché. Il a également encouragé les jeunes à entreprendre et à élargir leurs horizons au-delà de la fonction publique. Selon lui, les ingénieurs en génie civil disposent de compétences transversales qui peuvent être exploitées dans de nombreux secteurs, y compris la banque. « Les jeunes doivent bien connaître leur domaine et s’imposer par leur talent », a-t-il insisté.
De son côté, Ing. Mpy Nangkeré, fondateur de M2E École polytechnique, a salué la qualité de la formation dispensée à l’ENSTP, reposant sur la rigueur et la transversalité des compétences. Il a cependant exhorté les chefs d’entreprises à soutenir les jeunes ingénieurs en leur offrant des opportunités d’expérience pratique. Il a également suggéré aux entreprises de se regrouper et de travailler en synergie avec l’État afin de renforcer leurs capacités et d’intégrer davantage de jeunes dans leurs effectifs. « Les ingénieurs doivent miser sur la compétence et aller toujours plus loin dans leur domaine », a-t-il encouragé.
Le débat qui a suivi a permis aux jeunes ingénieurs de poser directement leurs préoccupations. Les échanges ont donné lieu à une analyse des causes du chômage dans le secteur, ainsi qu’à des propositions concrètes de solutions pour faciliter l’insertion professionnelle des diplômés.