Ce 25 septembre, une forte pluie s’est abattue sur N’Djamena, inondant plusieurs quartiers de la capitale dès les premières heures du matin.
Les routes, rapidement transformées en mares boueuses, sont devenues impraticables, coupant la circulation et isolant des habitants. De nombreuses familles ont vu leurs maisons envahies par les eaux, faute de canaux de drainage efficaces.
Les commerçants, eux, ont été contraints de fermer boutique, tandis que les élèves et les travailleurs peinaient à rejoindre leurs écoles et bureaux. Ce scénario, qui se reproduit à chaque saison pluvieuse, met en lumière le déficit criant d’infrastructures modernes.
L’absence de routes bitumées, dans de nombreux quartiers, accentue les dégâts, aggravant le quotidien d’une population déjà éprouvée. Face à cette situation, les habitants appellent à des investissements publics urgents dans l’assainissement et l’urbanisme, sans lesquels chaque pluie continuera d’être vécue comme une véritable épreuve.
Les routes, rapidement transformées en mares boueuses, sont devenues impraticables, coupant la circulation et isolant des habitants. De nombreuses familles ont vu leurs maisons envahies par les eaux, faute de canaux de drainage efficaces.
Les commerçants, eux, ont été contraints de fermer boutique, tandis que les élèves et les travailleurs peinaient à rejoindre leurs écoles et bureaux. Ce scénario, qui se reproduit à chaque saison pluvieuse, met en lumière le déficit criant d’infrastructures modernes.
L’absence de routes bitumées, dans de nombreux quartiers, accentue les dégâts, aggravant le quotidien d’une population déjà éprouvée. Face à cette situation, les habitants appellent à des investissements publics urgents dans l’assainissement et l’urbanisme, sans lesquels chaque pluie continuera d’être vécue comme une véritable épreuve.