Devant le Tribunal de grande instance de N’Djamena, l’accusé a reconnu les faits tout en tentant de s’expliquer. N’ayant pas de véhicule disponible, il aurait confié l’argent et la mission à d’autres chauffeurs. Ces derniers, selon lui, auraient perdu les sacs de ciment, qui auraient ensuite été saisis pour régler une dette.
Le chauffeur, actuellement en détention, a plaidé pour sa libération. Il a fait valoir que son emprisonnement l’empêcherait de rembourser progressivement le commerçant. Le tribunal a renvoyé l’affaire à une date ultérieure.