
Le baobab de la culture, s’en est allé, laissant derrière lui un immense vide dans le paysage artistique tchadien.
Ce que le Tchad retient de Rayskim, c’est l’image d’un homme résilient, déterminé et profondément engagé pour la promotion de la culture nationale. À travers sa musique, il a su parler au cœur des jeunes, éveiller les consciences et valoriser l’identité tchadienne.
Rayskim n’était pas qu’un artiste, il était une école, un modèle de persévérance et de courage. Malgré les obstacles, il a toujours su se relever, aller de l’avant et inspirer toute une génération. Son parcours témoigne d’une passion inébranlable pour la musique et d’un amour sincère pour son pays.
Aujourd’hui, le Tchad pleure l’un de ses plus dignes fils. Rendons hommage à cette légende dont la voix, les œuvres et les valeurs continueront de résonner bien au-delà de nos frontières.
Ce que le Tchad retient de Rayskim, c’est l’image d’un homme résilient, déterminé et profondément engagé pour la promotion de la culture nationale. À travers sa musique, il a su parler au cœur des jeunes, éveiller les consciences et valoriser l’identité tchadienne.
Rayskim n’était pas qu’un artiste, il était une école, un modèle de persévérance et de courage. Malgré les obstacles, il a toujours su se relever, aller de l’avant et inspirer toute une génération. Son parcours témoigne d’une passion inébranlable pour la musique et d’un amour sincère pour son pays.
Aujourd’hui, le Tchad pleure l’un de ses plus dignes fils. Rendons hommage à cette légende dont la voix, les œuvres et les valeurs continueront de résonner bien au-delà de nos frontières.