L’annonce de la sentence est intervenue en fin de journée, après une ultime prise de parole du leader politique, qui a choisi de mêler pardon et fermeté dans son message :
Un dossier centré sur un audio controversé
Au cœur des débats, un enregistrement audio de 2023, présenté par l’accusation comme un appel à la rébellion armée. La défense soutient qu’il s’agissait d’un appel à lutter contre le terrorisme, sorti de son contexte.
« Une personne qui se défend n’est pas coupable. Dr Masra n’a pas incité à attaquer l’État, mais à se protéger contre les terroristes », a plaidé l’un de ses avocats.
La veille, le procureur avait requis 25 ans de réclusion, accusant l’opposant d’être lié aux violences de Mandakao.
« Je pardonne d’avance à ceux qui m’ont maintenu en prison. Quoi qu’il arrive, je demande à mes soutiens de rester dignes et calmes. S’il fallait rester en prison pendant cent ans pour résoudre le problème du Tchad, je serais le premier à m’y engager », a-t-il déclaré devant la cour.
Un dossier centré sur un audio controversé
Au cœur des débats, un enregistrement audio de 2023, présenté par l’accusation comme un appel à la rébellion armée. La défense soutient qu’il s’agissait d’un appel à lutter contre le terrorisme, sorti de son contexte.
« Une personne qui se défend n’est pas coupable. Dr Masra n’a pas incité à attaquer l’État, mais à se protéger contre les terroristes », a plaidé l’un de ses avocats.
La veille, le procureur avait requis 25 ans de réclusion, accusant l’opposant d’être lié aux violences de Mandakao.