Alors que la capitale du Tchad a enregistré officiellement sa première pluie ce samedi 8 mai 2021, aucun geste n’est fait par les autorités pour parer à une éventuelle inondation de la vielle.
Dans un sentiment de désolation, Mbainadjiel Roger est piqué par l’arrivée de la saison des pluies. « On devrait aménager cette espace pour ne pas vivre le calvaire de l’année dernière », projette-t-il. Comme ce père de famille, beaucoup de foyers n’ont pas encore oublié l’épreuve qu’ils ont vécue avec le débordement des eaux du canal.
À Abena dans le 7ème arrondissement, l’avenu Mathias Garteri Mayadi qui déborde souvent n’a reçu aucune initiative de curage. Les canaux bouchés et les eaux usées débordent. Les déchets ménagers ferment eux aussi le canal pouvant conduire les eaux de pluie vers le fleuve Chari.
À N’Djari dans le 8ème arrondissement, tout comme à Chari Mongo, le canal de drainage des eaux de pluie est transformé en dépotoir de tous genres de déchets ménagers. Si rien n’est fait pour éviter le phénomène récurent dans la capitale, la fin des souffrances des usagers n’est pas pour demain.
« C’est vraiment anormal de construit un canal, sans penser un instant à le fermer », se désole Constant, un habitant du quartier Dembé 2. Même état de chose sur la deuxième voie de contournement, le canal fait à ciel ouvert reçoit au quotidien les déchets de toutes sortes. « Cette année sera plus difficile que l’année passée », prédit cet habitant du quartier Boutalbagara.
Dans un sentiment de désolation, Mbainadjiel Roger est piqué par l’arrivée de la saison des pluies. « On devrait aménager cette espace pour ne pas vivre le calvaire de l’année dernière », projette-t-il. Comme ce père de famille, beaucoup de foyers n’ont pas encore oublié l’épreuve qu’ils ont vécue avec le débordement des eaux du canal.
À Abena dans le 7ème arrondissement, l’avenu Mathias Garteri Mayadi qui déborde souvent n’a reçu aucune initiative de curage. Les canaux bouchés et les eaux usées débordent. Les déchets ménagers ferment eux aussi le canal pouvant conduire les eaux de pluie vers le fleuve Chari.
À N’Djari dans le 8ème arrondissement, tout comme à Chari Mongo, le canal de drainage des eaux de pluie est transformé en dépotoir de tous genres de déchets ménagers. Si rien n’est fait pour éviter le phénomène récurent dans la capitale, la fin des souffrances des usagers n’est pas pour demain.
« C’est vraiment anormal de construit un canal, sans penser un instant à le fermer », se désole Constant, un habitant du quartier Dembé 2. Même état de chose sur la deuxième voie de contournement, le canal fait à ciel ouvert reçoit au quotidien les déchets de toutes sortes. « Cette année sera plus difficile que l’année passée », prédit cet habitant du quartier Boutalbagara.