Lançant la formation, le secrétaire général du ministère de la Justice, chargé des droits humains, Madjitangué Trahogra, a souligné que le Tchad, membre des Nations Unies, a ratifié la plupart des instruments juridiques internationaux.
Pour le représentant par intérim du Haut-commissariat des Nations Unies aux droits de l’Homme, Félix Ahouansou, l'atelier vise à former les participants sur la méthode de collecte des documents (rapports, articles de presse, témoignages, procès verbaux) existants au plan national et international sur les droits de l’Homme au Tchad pour la période allant du 1er janvier 20005 au 31 décembre 2021.
Le projet de cartographie permettra de faire l’inventaire des violations graves des droits de l’Homme et du droit international humanitaire, et de faire des propositions en ce qui concerne les mécanismes éventuels de la justice transitionnelle.
D’après Félix Ahouansou, ce rapport pourra être utilisé par la justice pour aller vite dans son enquête et sa stratégie de poursuite des cas de violations les plus flagrantes ; par les militants des droits de l’Homme pour sensibiliser sur les questions liées au droit international relatif aux droits humains et dans leur plaidoyer international ; par le Haut-commissariat aux droits de l’Homme et la Commission nationale des droits de l’Homme.
Ce projet est financé par le Fonds de consolidation de la paix des Nations Unies.
Pour le représentant par intérim du Haut-commissariat des Nations Unies aux droits de l’Homme, Félix Ahouansou, l'atelier vise à former les participants sur la méthode de collecte des documents (rapports, articles de presse, témoignages, procès verbaux) existants au plan national et international sur les droits de l’Homme au Tchad pour la période allant du 1er janvier 20005 au 31 décembre 2021.
Le projet de cartographie permettra de faire l’inventaire des violations graves des droits de l’Homme et du droit international humanitaire, et de faire des propositions en ce qui concerne les mécanismes éventuels de la justice transitionnelle.
D’après Félix Ahouansou, ce rapport pourra être utilisé par la justice pour aller vite dans son enquête et sa stratégie de poursuite des cas de violations les plus flagrantes ; par les militants des droits de l’Homme pour sensibiliser sur les questions liées au droit international relatif aux droits humains et dans leur plaidoyer international ; par le Haut-commissariat aux droits de l’Homme et la Commission nationale des droits de l’Homme.
Ce projet est financé par le Fonds de consolidation de la paix des Nations Unies.