Le premier ministre Pahimi Padacké Albert a reçu ce 27 mai les leaders des organisations féminines à la suite de l’annulation d’une rencontre d’appel à la paix prévue ce matin.
« Si le gouvernement a, malgré lui, interdit cette manifestation pourtant salutaire, c'est en raison de risques sécuritaires consécutivement aux soupçons d'infiltration de terroristes dans la capitale », a expliqué clairement le chef du gouvernement.
« Pendant que les forces de sécurité intérieure sont à pied d'œuvre pour débusquer ces criminels, laisser se faire un rassemblement de plus de 10.000 femmes, serait prendre un risque disproportionné pour leur sécurité », a déclaré Pahimi Padacké Albert, premier ministre de transition, devant les représentantes des organisations des femmes.
« Si le gouvernement a, malgré lui, interdit cette manifestation pourtant salutaire, c'est en raison de risques sécuritaires consécutivement aux soupçons d'infiltration de terroristes dans la capitale », a expliqué clairement le chef du gouvernement.
« Pendant que les forces de sécurité intérieure sont à pied d'œuvre pour débusquer ces criminels, laisser se faire un rassemblement de plus de 10.000 femmes, serait prendre un risque disproportionné pour leur sécurité », a déclaré Pahimi Padacké Albert, premier ministre de transition, devant les représentantes des organisations des femmes.