L’affaire a éclaté suite à une série d’enquêtes menées par les forces de sécurité intérieure, déterminées à remonter la filière de revente d’appareils dérobés. Interrogés, les deux présumés n’ont pas tardé à passer aux aveux.
L’un d’eux a déclaré avoir « flashé plus de cinquante téléphones » en l’espace de quelques mois. Leur méthode était simple mais efficace : effacer les données d’origine, supprimer les verrous de sécurité, puis réinitialiser les appareils pour une revente rapide, souvent à bas prix.
Ce réseau, bien structuré, fonctionnait grâce à une parfaite coordination entre les voleurs, les techniciens et les revendeurs. Une mécanique frauduleuse huilée qui profitait du manque de traçabilité des téléphones dans certains circuits de vente.
Les deux techniciens présumés, eux, attendent désormais de répondre de leurs actes devant la justice.
L’un d’eux a déclaré avoir « flashé plus de cinquante téléphones » en l’espace de quelques mois. Leur méthode était simple mais efficace : effacer les données d’origine, supprimer les verrous de sécurité, puis réinitialiser les appareils pour une revente rapide, souvent à bas prix.
Ce réseau, bien structuré, fonctionnait grâce à une parfaite coordination entre les voleurs, les techniciens et les revendeurs. Une mécanique frauduleuse huilée qui profitait du manque de traçabilité des téléphones dans certains circuits de vente.
Les deux techniciens présumés, eux, attendent désormais de répondre de leurs actes devant la justice.