Le ministère de l’Action sociale, de la Solidarité et des Affaires humanitaires a organisé, ce mardi 23 septembre 2025 au CEFOD, la 2ᵉ édition nationale et la 10ᵉ africaine de la Journée Internationale des Langues des Signes (JILS).
Cette cérémonie a été marquée par diverses activités destinées à promouvoir l’inclusion et la valorisation des personnes sourdes au Tchad.
Dans son allocution, le président du comité d’organisation, Hassan Manke, a exprimé son honneur et son plaisir de prendre la parole à cette occasion. Il a adressé ses remerciements à la ministre de l’Action sociale, de la Solidarité et des Affaires humanitaires (MASSAH) et à son équipe pour leur engagement, ainsi qu’aux partenaires techniques, aux médias et au CEFOD, pour la mise à disposition de ses infrastructures.
Le représentant de l’ANDAT, Mbaunaissem Nodjingone, est revenu sur l’histoire de l’Association nationale des déficients auditifs du Tchad. Il a rappelé que celle-ci est l’œuvre d’Andrew Foster, un Américain malentendant qui, en 1976, a eu l’initiative de créer une école pour enfants sourds. Après sa disparition prématurée, l’idée a été reprise par des Tchadiens malentendants, notamment Alladoum Samuel, qui a collaboré avec les Américains pour ouvrir la première école des sourds à N’Djamena.
Fermée lors des événements de 1979, elle a été rouverte à Moundou (Logone Occidental), puis une autre a été créée à Sarh en 1986, avant que l’école de N’Djamena ne rouvre ses portes en 2003. Prenant la parole, la ministre de l’Action sociale, Zara Mahamat Issa, a souligné que cette Journée constitue une opportunité pour interpeller le gouvernement, les institutions de la République, ainsi que les organisations nationales et internationales sur la nécessité de mettre en œuvre des mesures concrètes et innovantes.
Elle a insisté sur l’application effective des normes et règles internationales relatives aux droits des personnes déficientes auditives, notamment celles contenues dans la Convention relative aux droits des personnes handicapées. Elle a conclu en appelant à une prise de conscience collective sur l’importance de l’inclusion et en remerciant, au nom de son ministère, et des organisations tchadiennes de personnes handicapées, l’ensemble des partenaires pour leur contribution à la réussite de cet événement.
Cette cérémonie a été marquée par diverses activités destinées à promouvoir l’inclusion et la valorisation des personnes sourdes au Tchad.
Dans son allocution, le président du comité d’organisation, Hassan Manke, a exprimé son honneur et son plaisir de prendre la parole à cette occasion. Il a adressé ses remerciements à la ministre de l’Action sociale, de la Solidarité et des Affaires humanitaires (MASSAH) et à son équipe pour leur engagement, ainsi qu’aux partenaires techniques, aux médias et au CEFOD, pour la mise à disposition de ses infrastructures.
Le représentant de l’ANDAT, Mbaunaissem Nodjingone, est revenu sur l’histoire de l’Association nationale des déficients auditifs du Tchad. Il a rappelé que celle-ci est l’œuvre d’Andrew Foster, un Américain malentendant qui, en 1976, a eu l’initiative de créer une école pour enfants sourds. Après sa disparition prématurée, l’idée a été reprise par des Tchadiens malentendants, notamment Alladoum Samuel, qui a collaboré avec les Américains pour ouvrir la première école des sourds à N’Djamena.
Fermée lors des événements de 1979, elle a été rouverte à Moundou (Logone Occidental), puis une autre a été créée à Sarh en 1986, avant que l’école de N’Djamena ne rouvre ses portes en 2003. Prenant la parole, la ministre de l’Action sociale, Zara Mahamat Issa, a souligné que cette Journée constitue une opportunité pour interpeller le gouvernement, les institutions de la République, ainsi que les organisations nationales et internationales sur la nécessité de mettre en œuvre des mesures concrètes et innovantes.
Elle a insisté sur l’application effective des normes et règles internationales relatives aux droits des personnes déficientes auditives, notamment celles contenues dans la Convention relative aux droits des personnes handicapées. Elle a conclu en appelant à une prise de conscience collective sur l’importance de l’inclusion et en remerciant, au nom de son ministère, et des organisations tchadiennes de personnes handicapées, l’ensemble des partenaires pour leur contribution à la réussite de cet événement.