Le Programme national de lutte contre le paludisme (PNLP) a organisé, ce mercredi 24 septembre 2025, une journée portes ouvertes à la salle bleue de l’ONAMA à N’Djamena, placée sous le thème : « Ensemble pour un Tchad sans paludisme ».
Cette rencontre visait à sensibiliser la population, à échanger directement avec le public et à proposer des séances de dépistage gratuit.
Le coordinateur du PNLP, Mahamat Saleh Issakha Diar, a rappelé que le paludisme demeure une maladie grave nécessitant une vigilance constante. Il a exhorté la population à adopter les mesures de prévention, notamment : dormir systématiquement sous moustiquaire imprégnée, assainir l’environnement immédiat, pour les femmes enceintes, utiliser obligatoirement les moustiquaires et effectuer régulièrement les consultations prénatales (CPN), porter des vêtements couvrant et éviter les habits sombres la nuit.
Le représentant des partenaires techniques et financiers a, pour sa part, souligné que le paludisme reste un problème majeur de santé publique au Tchad, réaffirmant l’engagement des partenaires à soutenir le PNLP dans sa mission d’éradication.
Lors des expositions, les experts ont expliqué les causes, les risques et la prise en charge du paludisme. Ils ont précisé que cette maladie est causée par un parasite transmis par les piqûres de moustiques femelles du genre Anopheles. Les enfants de moins de cinq ans constituent la catégorie la plus vulnérable.
Les intervenants ont distingué deux formes de paludisme : le paludisme simple, et le paludisme grave, tout en insistant qu’il n’existe pas de soi-disant « palu chronique » ou « palu typhoïde », termes souvent utilisés à tort dans la population. Ils ont également rappelé que la prise en charge nationale est disponible dans les hôpitaux et centres de santé, et que les traitements doivent être administrés en fonction du poids du patient.
Concernant la prévention, le PNLP a mis en avant la distribution de moustiquaires imprégnées, initiée depuis 2011 et organisée tous les trois ans. À ce jour, cinq campagnes nationales ont déjà été menées, visant à protéger efficacement la population contre le paludisme. La journée s’est achevée par une séance de questions-réponses entre le public et les responsables du PNLP, suivie d’un dépistage volontaire qui a marqué la clôture de l’événement.
Cette rencontre visait à sensibiliser la population, à échanger directement avec le public et à proposer des séances de dépistage gratuit.
Le coordinateur du PNLP, Mahamat Saleh Issakha Diar, a rappelé que le paludisme demeure une maladie grave nécessitant une vigilance constante. Il a exhorté la population à adopter les mesures de prévention, notamment : dormir systématiquement sous moustiquaire imprégnée, assainir l’environnement immédiat, pour les femmes enceintes, utiliser obligatoirement les moustiquaires et effectuer régulièrement les consultations prénatales (CPN), porter des vêtements couvrant et éviter les habits sombres la nuit.
Le représentant des partenaires techniques et financiers a, pour sa part, souligné que le paludisme reste un problème majeur de santé publique au Tchad, réaffirmant l’engagement des partenaires à soutenir le PNLP dans sa mission d’éradication.
Lors des expositions, les experts ont expliqué les causes, les risques et la prise en charge du paludisme. Ils ont précisé que cette maladie est causée par un parasite transmis par les piqûres de moustiques femelles du genre Anopheles. Les enfants de moins de cinq ans constituent la catégorie la plus vulnérable.
Les intervenants ont distingué deux formes de paludisme : le paludisme simple, et le paludisme grave, tout en insistant qu’il n’existe pas de soi-disant « palu chronique » ou « palu typhoïde », termes souvent utilisés à tort dans la population. Ils ont également rappelé que la prise en charge nationale est disponible dans les hôpitaux et centres de santé, et que les traitements doivent être administrés en fonction du poids du patient.
Concernant la prévention, le PNLP a mis en avant la distribution de moustiquaires imprégnées, initiée depuis 2011 et organisée tous les trois ans. À ce jour, cinq campagnes nationales ont déjà été menées, visant à protéger efficacement la population contre le paludisme. La journée s’est achevée par une séance de questions-réponses entre le public et les responsables du PNLP, suivie d’un dépistage volontaire qui a marqué la clôture de l’événement.