Lancée par le ministre de l’Élevage et de la Production animale, Abderahim Awat Atteib, cette formation intensive s’inscrit dans le cadre du renforcement de la sécurité sanitaire des aliments. Elle vise à outiller les boulangers sur les plans technique et réglementaire, à promouvoir une approche préventive des risques et à instaurer un dialogue durable entre les autorités et les professionnels du secteur.
Dans son discours d’ouverture, le ministre a insisté sur l’importance de cette initiative, qui fait suite à des inspections ayant révélé « des insuffisances préoccupantes » dans les boulangeries de N’Djamena. Il a rappelé la nécessité de produire du pain — aliment de base de la population — dans le respect des normes sanitaires, afin de protéger la santé des consommateurs, en particulier celle des enfants et des personnes vulnérables.
Le directeur général du CECOQDA, Soudy Imar Djibrine, a pour sa part expliqué que cet atelier s’inscrit dans le prolongement d’une campagne conjointe d’inspection menée du 23 juin au 3 juillet 2025 dans les dix arrondissements de la capitale. « Le pain avait été identifié comme une denrée prioritaire lors de cette opération », a-t-il rappelé.
Le ministre a confirmé les graves manquements observés : « L’équipe a constaté de nombreuses insuffisances en matière d’hygiène, de production, de transport et de stockage du pain. » Il a exhorté les boulangers à participer activement à cette formation afin de corriger ces lacunes.
Cette initiative marque le début d’un processus d’amélioration continue de la qualité du pain produit dans la capitale, grâce à l’engagement conjoint du CECOQDA, de la police sanitaire et des ministères sectoriels.
Dans son discours d’ouverture, le ministre a insisté sur l’importance de cette initiative, qui fait suite à des inspections ayant révélé « des insuffisances préoccupantes » dans les boulangeries de N’Djamena. Il a rappelé la nécessité de produire du pain — aliment de base de la population — dans le respect des normes sanitaires, afin de protéger la santé des consommateurs, en particulier celle des enfants et des personnes vulnérables.
Le directeur général du CECOQDA, Soudy Imar Djibrine, a pour sa part expliqué que cet atelier s’inscrit dans le prolongement d’une campagne conjointe d’inspection menée du 23 juin au 3 juillet 2025 dans les dix arrondissements de la capitale. « Le pain avait été identifié comme une denrée prioritaire lors de cette opération », a-t-il rappelé.
Le ministre a confirmé les graves manquements observés : « L’équipe a constaté de nombreuses insuffisances en matière d’hygiène, de production, de transport et de stockage du pain. » Il a exhorté les boulangers à participer activement à cette formation afin de corriger ces lacunes.
Cette initiative marque le début d’un processus d’amélioration continue de la qualité du pain produit dans la capitale, grâce à l’engagement conjoint du CECOQDA, de la police sanitaire et des ministères sectoriels.