
Le journaliste de la radio Bonne Nouvelle de Moundou, Dounian Parfait, appréhendé hier par les soins de l’ANSE a recouvré sa liberté le mardi 23 septembre 2025.
Il a été interpellé suite à un élément d’information passé sur les ondes de la radio Bonne Nouvelle de Moundou datant de 2020, dans lequel les conseillers municipaux ont appelé à la démission du gouverneur de la province du Logone Occidental, selon diverses sources contactées par Alwihda infos.
Le journaliste de la radio Bonne Nouvelle de Moundou, Dounian Parfait a répondu à une convocation téléphonique de l’ANSE, où il sera séquestré dans leurs locaux de Moundou jusqu’à sa libération ce matin. Ses collègues et ses proches sont restés sans nouvelle.
Les services de renseignements tchadiens, notamment l’Agence Nationale de Sécurité d’Etat (ANSE) et la Direction Générale des Renseignements et d’investigation (DGRI), deux structures rattachées à la Présidence, répriment de voix dissidentes au régime du Mahamat Idriss Déby Itno, dans un contexte de restrictions accrues de la liberté de la presse : les journalistes locaux sont réduits au silence, forcés à l’exil ou victimes d’intimidations, tandis que les organisations de la société civile ou des acteurs politiques font face à des menaces constantes, y compris des arrestations arbitraires.
Il a été interpellé suite à un élément d’information passé sur les ondes de la radio Bonne Nouvelle de Moundou datant de 2020, dans lequel les conseillers municipaux ont appelé à la démission du gouverneur de la province du Logone Occidental, selon diverses sources contactées par Alwihda infos.
Le journaliste de la radio Bonne Nouvelle de Moundou, Dounian Parfait a répondu à une convocation téléphonique de l’ANSE, où il sera séquestré dans leurs locaux de Moundou jusqu’à sa libération ce matin. Ses collègues et ses proches sont restés sans nouvelle.
Les services de renseignements tchadiens, notamment l’Agence Nationale de Sécurité d’Etat (ANSE) et la Direction Générale des Renseignements et d’investigation (DGRI), deux structures rattachées à la Présidence, répriment de voix dissidentes au régime du Mahamat Idriss Déby Itno, dans un contexte de restrictions accrues de la liberté de la presse : les journalistes locaux sont réduits au silence, forcés à l’exil ou victimes d’intimidations, tandis que les organisations de la société civile ou des acteurs politiques font face à des menaces constantes, y compris des arrestations arbitraires.