Si la politique suscite parfois des débats passionnés, rien ne déclenche autant de disputes que le football. Supporter son équipe devient presque une affaire de vie ou de mort, créant des scènes qui font sourire mais qui montrent aussi l’attachement profond des supporters à leur club ou à leur pays.
Le football, un langage universel… mais explosif
À N’Djamena, il n’est pas rare de voir un groupe d’amis passer d’une ambiance conviviale à une véritable querelle à cause d’un match. Ousmane, 23 ans, raconte en riant : « Quand le Real Madrid perd, je ne décroche plus mon téléphone. Sinon mes amis du Barça vont m’appeler juste pour se moquer de moi. » Il ajoute qu’il lui est même arrivé de bouder un cousin pendant deux jours après une finale de Ligue des Champions.
Des rivalités qui dépassent le terrain
Pour certains, le football n’est pas qu’un jeu. Moussa, vendeur de maillots, explique : « Quand il y a un classico Barça-Real, je vends plus de maillots, mais je dois faire attention à ce que je dis. Si je plaisante avec un supporter, il peut se vexer comme si j’avais insulté sa famille. »
Ces rivalités, parfois drôles, prennent des allures de guerre psychologique. Quand les familles s’en mêlent Même dans les foyers, le ballon devient source de dispute. Fatimé, 28 ans, mariée à un fan du PSG, raconte : « Mon mari ne veut pas qu’on parle quand son équipe joue.
Un jour, j’ai changé de chaîne pour voir une série, il a fait la tête toute la soirée ! » Elle conclut en plaisantant : « J’ai compris que son premier amour, c’est le foot. Moi je suis la deuxième. »
Le ballon plus fort que les urnes
Mais pourquoi le football crée-t-il plus de disputes que la politique ? Selon Idriss, sociologue amateur et grand supporter de Chelsea : « La politique, les gens s’en méfient. Mais le foot, c’est émotion pure. Les couleurs d’un club deviennent comme une identité. Alors quand ton équipe perd, c’est comme si toi-même tu avais perdu. »
Une passion qui unit malgré tout
Même si les querelles sont fréquentes, elles finissent souvent dans les rires. Au lendemain d’un grand match, les discussions reprennent et chacun prépare déjà sa revanche verbale pour la prochaine rencontre. Au fond, le football n’est pas qu’un sport : c’est un déclencheur d’émotions collectives. Il peut opposer amis, familles et voisins, parfois plus que la politique. Mais après la dispute, il laisse surtout des souvenirs et des anecdotes qui font sourire.
Le football, un langage universel… mais explosif
À N’Djamena, il n’est pas rare de voir un groupe d’amis passer d’une ambiance conviviale à une véritable querelle à cause d’un match. Ousmane, 23 ans, raconte en riant : « Quand le Real Madrid perd, je ne décroche plus mon téléphone. Sinon mes amis du Barça vont m’appeler juste pour se moquer de moi. » Il ajoute qu’il lui est même arrivé de bouder un cousin pendant deux jours après une finale de Ligue des Champions.
Des rivalités qui dépassent le terrain
Pour certains, le football n’est pas qu’un jeu. Moussa, vendeur de maillots, explique : « Quand il y a un classico Barça-Real, je vends plus de maillots, mais je dois faire attention à ce que je dis. Si je plaisante avec un supporter, il peut se vexer comme si j’avais insulté sa famille. »
Ces rivalités, parfois drôles, prennent des allures de guerre psychologique. Quand les familles s’en mêlent Même dans les foyers, le ballon devient source de dispute. Fatimé, 28 ans, mariée à un fan du PSG, raconte : « Mon mari ne veut pas qu’on parle quand son équipe joue.
Un jour, j’ai changé de chaîne pour voir une série, il a fait la tête toute la soirée ! » Elle conclut en plaisantant : « J’ai compris que son premier amour, c’est le foot. Moi je suis la deuxième. »
Le ballon plus fort que les urnes
Mais pourquoi le football crée-t-il plus de disputes que la politique ? Selon Idriss, sociologue amateur et grand supporter de Chelsea : « La politique, les gens s’en méfient. Mais le foot, c’est émotion pure. Les couleurs d’un club deviennent comme une identité. Alors quand ton équipe perd, c’est comme si toi-même tu avais perdu. »
Une passion qui unit malgré tout
Même si les querelles sont fréquentes, elles finissent souvent dans les rires. Au lendemain d’un grand match, les discussions reprennent et chacun prépare déjà sa revanche verbale pour la prochaine rencontre. Au fond, le football n’est pas qu’un sport : c’est un déclencheur d’émotions collectives. Il peut opposer amis, familles et voisins, parfois plus que la politique. Mais après la dispute, il laisse surtout des souvenirs et des anecdotes qui font sourire.