
Un homme comparaît devant le tribunal de grande instance de N’Djamena pour escroquerie, suite à la vente d’un terrain qui ne lui appartenait pas. Selon les faits, le prévenu aurait cédé à la partie civile un terrain situé au quartier Sadjeré, pour la somme de 1 850 000 FCFA.
Mais quelques temps après, l’acquéreur a découvert que la parcelle en question appartenait en réalité à une autre personne. Mécontent, il a alors porté plainte auprès de la brigade.
Pour calmer la situation, le prévenu a proposé une nouvelle offre : il a affirmé disposer d’un terrain de deux lots à Goudji, estimé à 5 500 000 FCFA. Il a demandé à la partie civile de compléter la somme initiale par 3 650 000 FCFA, afin de régulariser l’affaire. Convaincue, la victime a remis la totalité du montant au prévenu.
Cependant, il s’est avéré plus tard que celui-ci ne possédait, ni le terrain de Sadjeré, ni celui de Goudji. La partie civile affirme donc avoir été escroquée à deux reprises par la même personne. Lors de l’audience du 22 septembre 2025, le procureur a requis une peine de trois ans d’emprisonnement ferme assortie d’une amende de 200 000 FCFA à l’encontre du prévenu.
Mais quelques temps après, l’acquéreur a découvert que la parcelle en question appartenait en réalité à une autre personne. Mécontent, il a alors porté plainte auprès de la brigade.
Pour calmer la situation, le prévenu a proposé une nouvelle offre : il a affirmé disposer d’un terrain de deux lots à Goudji, estimé à 5 500 000 FCFA. Il a demandé à la partie civile de compléter la somme initiale par 3 650 000 FCFA, afin de régulariser l’affaire. Convaincue, la victime a remis la totalité du montant au prévenu.
Cependant, il s’est avéré plus tard que celui-ci ne possédait, ni le terrain de Sadjeré, ni celui de Goudji. La partie civile affirme donc avoir été escroquée à deux reprises par la même personne. Lors de l’audience du 22 septembre 2025, le procureur a requis une peine de trois ans d’emprisonnement ferme assortie d’une amende de 200 000 FCFA à l’encontre du prévenu.