Cette rencontre majeure, organisée en partenariat avec le Royaume du Maroc, vise à mobiliser 12 milliards de dollars pour la mise en œuvre d’un ambitieux programme de réformes et d’investissements destiné à transformer la Centrafrique.
Dans son allocution, le Chef de l’État centrafricain a exprimé sa gratitude à Sa Majesté le Roi Mohammed VI ainsi qu’au peuple marocain pour l’accueil chaleureux et le soutien apporté à l’organisation de cette rencontre.
« Le Maroc symbolise la résilience et l’engagement pour la paix et la prospérité. En accueillant cette table ronde, il illustre sa vision d’une Afrique solidaire et prospère », a déclaré le Président.
Les priorités du PND 2024-2028
Le PND-RCA fixe des objectifs clairs :
Le Président Touadéra a lancé un appel clair aux partenaires : « Investir en Centrafrique, c’est avoir le courage d’entrer tôt sur un marché immense et vierge. Nous voulons bâtir un partenariat gagnant-gagnant, notamment dans l’agriculture, les mines, l’énergie et les infrastructures. »
Il a aussi réaffirmé la volonté du gouvernement d’améliorer le climat des affaires, grâce à des réformes telles que la Charte des investissements, la loi sur les PPP, et la mise en place d’un guichet unique pour la création d’entreprise.
La Table ronde de Casablanca s’annonce comme un tournant pour la République centrafricaine. Elle doit permettre de mobiliser les financements nécessaires à la concrétisation d’une vision : transformer le pays en une « Terre de promesses et d’opportunités », où la pauvreté n’est pas une fatalité.
Dans son allocution, le Chef de l’État centrafricain a exprimé sa gratitude à Sa Majesté le Roi Mohammed VI ainsi qu’au peuple marocain pour l’accueil chaleureux et le soutien apporté à l’organisation de cette rencontre.
« Le Maroc symbolise la résilience et l’engagement pour la paix et la prospérité. En accueillant cette table ronde, il illustre sa vision d’une Afrique solidaire et prospère », a déclaré le Président.
Les priorités du PND 2024-2028
Le PND-RCA fixe des objectifs clairs :
- Croissance économique : atteindre un taux annuel moyen de 4,2 % du PIB ;
- Réduction de la pauvreté : passer de 68,8 % à 62 % en 2028 ;
- Santé : réduire la mortalité infanto-juvénile de 99 à 45 pour 1 000 naissances ;
- Énergie : améliorer le taux d’accès à l’électricité de 17 % à 40 % ;
- Eau potable : faire passer la couverture de 37 % à 60 %.
- plus de 15 millions d’hectares de terres arables (dont seulement 3 % exploités),
- 519 indices miniers (diamant, or, lithium, cobalt, manganèse, hydrocarbures…),
- un potentiel hydroélectrique de 2 000 MW encore largement inexploité,
- une population jeune (49 % de moins de 15 ans) et dynamique,
- une position géographique centrale au cœur du continent, favorable à la ZLECAF.
- Sécurité, réconciliation nationale et bonne gouvernance ;
- Développement du capital humain et accès équitable aux services sociaux de base ;
- Infrastructures résilientes et durables ;
- Valorisation des filières productives pour une croissance inclusive ;
- Résilience climatique et durabilité environnementale.
Le Président Touadéra a lancé un appel clair aux partenaires : « Investir en Centrafrique, c’est avoir le courage d’entrer tôt sur un marché immense et vierge. Nous voulons bâtir un partenariat gagnant-gagnant, notamment dans l’agriculture, les mines, l’énergie et les infrastructures. »
Il a aussi réaffirmé la volonté du gouvernement d’améliorer le climat des affaires, grâce à des réformes telles que la Charte des investissements, la loi sur les PPP, et la mise en place d’un guichet unique pour la création d’entreprise.
La Table ronde de Casablanca s’annonce comme un tournant pour la République centrafricaine. Elle doit permettre de mobiliser les financements nécessaires à la concrétisation d’une vision : transformer le pays en une « Terre de promesses et d’opportunités », où la pauvreté n’est pas une fatalité.