Dans son mot d’ouverture, le Secrétaire général du ministère de la Santé publique, Dabsou Guidaoussou, a rappelé que depuis l’adoption de la stratégie nationale de la Couverture Santé Universelle (CSU) en 2015 et la promulgation de la loi n°035/PR du 5 août 2019 instituant formellement la CSU, le développement des mutuelles de santé bénéficie d’une attention particulière de l’État et de ses partenaires techniques et financiers.
Ces mutuelles, a-t-il expliqué, jouent un rôle essentiel dans la mise en œuvre effective de la CSU en favorisant l’accès équitable aux soins de santé.
La rencontre a permis aux différents acteurs de faire le point sur la situation actuelle des mutuelles : leur fonctionnement, leurs forces et faiblesses, ainsi que les ajustements nécessaires pour renforcer leur efficacité.
Ces discussions constituent une étape importante pour plaider en faveur de l’inscription du financement des mutuelles de santé dans le budget national.
Soutenue par la Coopération suisse à travers le Programme d’Appui au Développement Sanitaire (PADS), cette évaluation a pour objectif principal de mesurer la performance, la pertinence et la durabilité des mutuelles, afin d’éclairer leur intégration dans la Couverture Santé Universelle.
L’atelier vise spécifiquement à :
- Restituer les résultats de l’évaluation aux parties prenantes et recueillir leurs observations ;
- Formuler des recommandations opérationnelles pour un fonctionnement efficace et durable des mutuelles de santé au Tchad ;
- Impliquer les acteurs du système de santé dans un processus participatif de co-création.
Le Tchad affiche encore des indicateurs de santé préoccupants (forte mortalité maternelle, faible couverture sanitaire). Pour y remédier, le gouvernement, avec l’appui de la Suisse, a promu les mutuelles de santé comme un mécanisme solidaire de financement et de participation communautaire.
Depuis 2010, sept mutuelles de district et une fédération nationale (FEIMUSAT) ont été créées, couvrant environ 400 000 bénéficiaires avant le retrait du financement suisse en 2019.
L’évaluation visait notamment à :
- apprécier la performance et les résultats obtenus par les mutuelles ;
- tirer les enseignements des interventions des différents acteurs (mutuelles, FEIMUSAT, CPG-RS, État, PTF) ;
- et évaluer la capacité institutionnelle du Centre de Promotion et de Gestion des Risques Sociaux (CPG-RS) à poursuivre son appui technique.
Le Secrétaire général a exhorté les participants à s’approprier les recommandations issues de cette évaluation pour faire des mutuelles de santé un levier durable de solidarité et de justice sociale au Tchad.
Ces mutuelles, a-t-il expliqué, jouent un rôle essentiel dans la mise en œuvre effective de la CSU en favorisant l’accès équitable aux soins de santé.
La rencontre a permis aux différents acteurs de faire le point sur la situation actuelle des mutuelles : leur fonctionnement, leurs forces et faiblesses, ainsi que les ajustements nécessaires pour renforcer leur efficacité.
Ces discussions constituent une étape importante pour plaider en faveur de l’inscription du financement des mutuelles de santé dans le budget national.
Soutenue par la Coopération suisse à travers le Programme d’Appui au Développement Sanitaire (PADS), cette évaluation a pour objectif principal de mesurer la performance, la pertinence et la durabilité des mutuelles, afin d’éclairer leur intégration dans la Couverture Santé Universelle.
L’atelier vise spécifiquement à :
- Restituer les résultats de l’évaluation aux parties prenantes et recueillir leurs observations ;
- Formuler des recommandations opérationnelles pour un fonctionnement efficace et durable des mutuelles de santé au Tchad ;
- Impliquer les acteurs du système de santé dans un processus participatif de co-création.
Le Tchad affiche encore des indicateurs de santé préoccupants (forte mortalité maternelle, faible couverture sanitaire). Pour y remédier, le gouvernement, avec l’appui de la Suisse, a promu les mutuelles de santé comme un mécanisme solidaire de financement et de participation communautaire.
Depuis 2010, sept mutuelles de district et une fédération nationale (FEIMUSAT) ont été créées, couvrant environ 400 000 bénéficiaires avant le retrait du financement suisse en 2019.
L’évaluation visait notamment à :
- apprécier la performance et les résultats obtenus par les mutuelles ;
- tirer les enseignements des interventions des différents acteurs (mutuelles, FEIMUSAT, CPG-RS, État, PTF) ;
- et évaluer la capacité institutionnelle du Centre de Promotion et de Gestion des Risques Sociaux (CPG-RS) à poursuivre son appui technique.
Le Secrétaire général a exhorté les participants à s’approprier les recommandations issues de cette évaluation pour faire des mutuelles de santé un levier durable de solidarité et de justice sociale au Tchad.