
Portée par PROLAC-Cameroun et financée par la Banque mondiale et l'OIM (Agence des Nations Unies pour les migrations), cette initiative vise à réduire les conflits liés aux couloirs de transhumance et à renforcer la cohésion sociale dans les communautés riveraines du département du Logone-et-Chari.
Mobilisation des acteurs clés
L’atelier a réuni un large éventail de parties prenantes, soulignant l'approche intersectorielle et transfrontalière du projet :
- Le Préfet du Logone-et-Chari.
- Les Coordonnateurs nationaux du PROLAC pour le Cameroun et le Tchad.
- Les experts de la Commission du Bassin du Lac Tchad (CBLT).
- Les représentants des transhumants et des éleveurs, et les leaders traditionnels.
- Les représentants des ministères sectoriels des deux pays.
- Le bureau de zone de l’OIM à Kousséri et ses partenaires internationaux d'implémentation.
Contexte sécuritaire
Il est rappelé que la région du Lac Tchad est confrontée à une insécurité persistante et à des conflits intercommunautaires. L’OIM soutient activement les efforts du gouvernement camerounais à travers des actions de réconciliation, de dialogue communautaire et de stabilisation afin d'apaiser durablement la région.